Tchétchénie

Quatre ans après le voyage officiel à Moscou de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la visite d'Etat de Vladimir Poutine confirme l'importance géopolitique du Maroc pour la Russie Le Président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, accompagné d'une importante délégation composée notamment de membres du gouvernement, de dirigeants de banques et de chefs d'entreprises, entame ce mercredi 6 septembre une visite officielle de deux jours au Maroc. C'est la deuxième visite qu'un chef d'Etat de Russie effectue dans notre pays depuis celle que Léonid Brejnev, président du Soviet suprême et secrétaire général du Parti communiste soviétique, avait entreprise en 1961 et qui s'apparentait.

Entre Moscou et Téhéran, la relation de coopération sur le très controversé dossier nucléaire est une vieille histoire. Elle remonte à 1995, lorsque la Russie post-soviétique cherchait désespérément à remplir ses coffres et que l'Iran sortait difficilement d'une décennie de révolution islamique et de guerre avec l'Irak.

Un an après l’épouvantable prise d’otage de Beslan, le Caucase russe est une nouvelle fois le théâtre de violences. Des hommes en armes ont lancé jeudi plusieurs attaques simultanées contre Naltchik, capitale de la république caucasienne russe de Kabardino-Balkarie

Plus de 70 personnes ont été arrêtées à Charm el-Cheikh et ailleurs dans le Sinaï dans le cadre de l'enquête sur les attentats. Aucune personne parmi les interpellés n'a été accusée d'implication dans cette attaque la plus meurtrière jamais commise en Egypte, ajoutent ces mêmes sources ayant requis l'anonymat. Les attaques ont d'abord été revendiquées par les Brigades Abdullah-Azzam, un groupe se réclamant de l'organisation d'Al-Qaïda, puis par les Guerriers saints de l'Egypte, un groupe jusqu'alors inconnu. Le président égyptien Hosni Moubarak s'est rendu sur les lieux des attentats.

Attentats en Grande-Bretagne C’est le premier nom qui a été avancé dans les enquêtes des attentats de Londres. Le Franco-marocain, Mohamed El Guerbouzi, est d’ores et déjà le suspect numéro 1 des Britanniques. Volatilisé du Royaume-Uni depuis un an, il était sous le coup d’une condamnation à 20 ans de prison par contumace pour son rôle dans les attentats de Casablanca. Il est aussi donné comme l’un des fondateurs du fameux GICM (Groupe islamique combattant marocain) et l’un des artificiers des attaques de Madrid du 11 mars 2004. Est-il réellement derrière le carnage de Londres? Aucune certitude ne peut être avancée pour l’heure. Pourtant sa fuite, son passé et ses supposés contacts en disent long sur son profil. Retour sur une trajectoire occidentale.