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Suicide

France : Suicide de Océane en direct sur Periscope

Periscope est une application logicielle pour appareils mobiles fonctionnant sous le système d’exploitation iOS et Android développée par Kayvon Beykpour et Joe Bernstein. Elle permet à l’utilisateur de retransmettre en direct ce qu’il est en train de filmer. Une jeune fille s’est suicidée en direct sur Periscope mardi dernier, a …

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De l’amour au suicide

Nadia est décédée depuis quelques semaines. Mais ses voisins de l’un des quartiers de la ville de Larache n’ont pas encore oublié son histoire qui a commencé par l’amour et s’est terminée par le suicide.

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Elle se suicide par amour

En principe l’amour rend l’individu heureux. Mais parfois, ce noble sentiment rend l’amoureux très malheureux au point qu’il lui arrive à commettre l’irréparable. Tel est le cas de Nadia. Nous sommes à Sidi Bennour, province d’El Jadida. C’est au quartier El Wydad que Nadia est née en 1986. A l’âge de 6 ans, elle avait été conduite aux bancs de l’école. Malheureusement, elle n’a pas pu mettre les pieds au collège car elle a échoué à la phase primaire. Et depuis, elle est restée chez elle jusqu’à l’âge de 18 ans.

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Un orphelin oblige son père à se suicider

Ne supportant plus les reproches de son unique fils qui le culpabilisait à chaque moment, du crime qu'il avait commis, un quinquagénaire a mis fin à sa vie par pendaison. Nous sommes au quartier Sidi Larbi, à Taroudant. Sédik qui occupe une chambre depuis dix-neuf ans n’a plus donné signe de vie depuis la veille du vendredi 23 mai. Ses voisins ont remarqué sa disparition. Depuis qu’il est rentré la veille, vers 19 h, il n’est pas sorti. Etait-il malade ? Peut-être. Un voisin a pris l’initiative de frapper à la porte. Il ne lui a pas ouvert. Que lui est-il arrivé ? Un autre voisin a tenté de pousser la porte. Celle-ci était verrouillée. Aussitôt, ils ont téléphoné au propriétaire de la demeure pour trouver une solution. Quand il les a rejoints, il s’est contenté de frapper à la porte. En vain. Elle est restée fermée. Le propriétaire a alors alerté par téléphone la police. Qui est Sédik ?

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Un nouveau rebondissement dans l’affaire du réseau terroriste

L’enquête tend à prouver qu'il s'agit d'un mouvement en continuité avec la Chabiba Islamiya et en filiation direct avec «Al Ikhtiar Al Islami». Révélations. La conférence de presse du ministre de l’Intérieur a révélé quelques données sur la réalité de la cellule terroriste démantelée, en particulier sur les affinités idéologiques de ses membres. Le ministre a cité cinq groupuscules marocains dont « les Moujahidine marocains » créé par Nouâmani en 1984. Il a aussi cité des contacts avec le terrorisme international et Hizbollah. Il n’en fallut pas plus pour que le fantasme sur le chiisme supposé et la filiation à Al Qaïda fassent la Une. En fait, tous les contacts ont été « utilitaires ».

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Un rêve qui mène à la morgue

Hassan n’avait qu’un seul rêve après avoir décroché son baccalauréat : immigrer. Son rêve s’est transformé en cauchemar. Il a été poignardé mortellement. A son vingt et unième printemps, Hassan est fier d’avoir décroché son baccalauréat. Il n’avait pas l’intention de s’inscrire ni à l’université, ni dans un institut privé. Rester chômeur après avoir déployé tous ses efforts pour avoir son Bac? Non. Il espérait aller ailleurs, au-delà de la Méditerranée, pour poursuivre ses études supérieures. Sinon au moins pour avoir un emploi et subvenir aux besoins de sa famille. Pour lui, rester dans son pays est un suicide moral, un désespoir. Mais comment devait-il faire pour réaliser son rêve? Il a adressé plusieurs correspondances à différentes établissements d’études supérieures en Europe (France, Belgique, Hollande, Allemagne). Il n’avait que l’envie de bien vivre. En attendant des réponses qu’il espérait favorables, il commençait à penser aux frais du voyage et aux dépenses inhérentes aux premiers mois de séjour en Europe. Il n’en avait pas les moyens. Soutenu par un proche, il a créé un petit commerce et est devenu marchand ambulant qui faisait le tour des souks et des marchés et ne dépassait jamais le périmètre de son quartier, Hay Mohammadi à Casablanca où se trouve un souk populaire. Mais le malheur le guettait.

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Il tue pour se faire pardonner son péché

L’hôpital Mohammed V d’El Jadida a été, récemment, la scène d’un crime. Un détenu hospitalisé a étouffé un autre. Mobile : la victime l’a empêché de jeûner. Hôpital provincial Mohammed V d’El Jadida. Le pavillon réservé aux détenus malades reprend son calme après que ces derniers ont pris leur dernier repas, avant l’aube de ce jour du mois de Ramadan, le samedi 29 septembre 2007.

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Un kamikaze tente de se faire exploser dans un car au Maroc

Un islamiste présumé a tenté de se faire exploser dans un autocar transportant des touristes, lundi à Meknès, au Maroc, mais la bonbonne de gaz qu'il transportait a explosé avant qu'il ait atteint le car, apprend-on de sources policières. La bonbonne a explosé à quelques mètres de l'autocar et le kamikaze a été grièvement blessé, selon une source. Selon une autre source, les autorités soupçonnent l'agresseur d'appartenir au groupe islamiste Djihadia. Le kamikaze, qui serait âgé d'une trentaine d'années, a été hospitalisé et il est dans le coma, mais les autorités ont formulé l'espoir qu'il survivrait pour pouvoir donner des informations sur le complot.

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Pour obtenir de la drogue, il passait sa mère à tabac

Pour avoir sa dose quotidienne de drogue, Khaled était prêt à frapper sa mère et sa sœur pour leur soutirer de l’argent. Il a été condamné à un an de prison ferme «Je me drogue pour ne plus penser à rien», balbutie Khaled devant le tribunal. Vêtu d’un tee-shirt jaune et d’un blue-jeans et chaussé d’une sandale, Khaled se tient calmement au box des accusés, à la salle d’audience n°8 de la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca.

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S.M. LE ROI PRONONCE LE DISCOURS DU TRONE ET SOULIGNE A PROPOS DU SAHARA

Le Maroc disposé à négocier, mais uniquement sur l'autonomie, toute l'autonomie et rien que l'autonomie • Notre vœu est de faire en sorte que les pourparlers soient une victoire pour toutes les parties, pour le droit et la légitimité et de faire prévaloir l'esprit de fraternité, de bon voisinage et d'unité maghrébine • L'élection de la prochaine Chambre des représentants doit conforter la normalité démocratique et faire émerger une majorité gouvernementale crédible et une opposition agissante et constructive. • Notre monarchie est citoyenne, elle ne saurait être cantonnée dans un concept réducteur ni dans des prérogatives exécutives, ou organe législatif ou autorité judiciaire.

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Il se suicide pour prouver son amour

Durant deux minutes, Kaoutar a vécu ce qu’elle n’a jamais imaginé. Pas loin de la gare ferroviaire l’Oasis à Casablanca, son bien aimé s’est suicidé pour lui prouver son amour. Y a-t-il encore, de nos jours, quelqu'un qui se suiciderait au nom de l’amour ? Oui. L’histoire de Redouane et Kaoutar qui a fini, dernièrement, en drame le prouve. L’amour les a unis depuis plus d’une année. Kaoutar se souvient du jour et du moment où Redouane l’a croisée la première fois. Elle rentrait du collège quand il s’est approché d’elle et lui a chuchoté des mots mielleux. Pour elle, c’était un moment inoubliable. C’était la première fois qu’elle avait entendu des mots sincères exprimant les vrais sentiments d’un cœur qui bat la chamade. Elle n’a pas trop résisté à ses mots pour tomber enfin amoureuse de lui. Tous deux semblaient être les plus heureux du monde. Ils passaient ensemble de bons moments à converser, à rigoler, à plaisanter, à se bécoter, à faire l’amour loin des regards de curieux, à fumer et à s’enivrer.

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Nador: Suicide par pendaison d’un détenu au sein du tribunal de 1er instance

Un détenu s'est donné la mort par pendaison, lundi, au sein du tribunal de première instance de Nador, a indiqué un communiqué du procureur général du Roi près la cour d'appel de la ville. La même source précise que le prisonnier, qui était poursuivi pour coups et blessures volontaires au moyen d'arme blanche, détention d'arme dans des conditions entraînant une menace à l'ordre public et à la sécurité des personnes et consommation de stupéfiants, a été conduit de l'établissement pénitentiaire de Nador pour comparaître devant la chambre criminelle du tribunal de première instance de la ville. Seulement, au moment de la tenue de la séance, le détenu a causé un grand désordre dans la cellule d'attente avoisinant la salle, c'est pourquoi il a été mis dans une autre cellule dans l'attente de statuer sur son cas.

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Quartier Mezouak : Le fief des agents recruteurs d’Al Qaïda

Jamaâ Mezouak a été décrit, ces trois dernières années, comme une fabrique de kamikazes. Au-delà de ces aspects, on découvre un quartier pauvre qui manque de tout. Retour sur les lieux d'enfance des frères Ahmidane. Dans cet immense quartier populaire, les habitants gagnent généralement leur vie de la vente des légumes et fruits qu’ils achètent de Bahroura, région faisant partie de Jamaâ Mezouak mais dont la population vit toujours de cultures vivrières. D’autres ont choisi le commerce d'articles de contrebande qu’ils acquièrent à Sebta. Mais leur rêve demeure de parvenir à l’autre rive.

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Attentats kamikazes de Casablanca : priorité aux jeunes

Président de l'IMRI (Institut Marocain des Relations Internationales) Après les attentats du 16 mai 2003, Casablanca vient à nouveau d'être le théâtre d'opérations de même type. Le 11 mars 2007, un kamikaze s'est fait exploser dans un cybercafé de Sidi Moumen. Le 10 avril 2007, d'autres kamikazes se sont fait exploser à Hay El Farah. Enfin le 14 avril 2007, deux frères se sont fait exploser au Boulevard Moulay Youssef, près du Consulat des Etats-Unis et du Centre culturel américain.

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Benmoussa: 59 suspects interrogés, 10 relaxés et 31 devant la justice

Les services de sécurité ont interrogé 59 suspects depuis les explosions terroristes du 11 mars dernier à Casablanca, dont dix ont été relaxés pour non implication dans ces actes et 31 ont été déférés devant la justice, alors que 18 autres individus sont toujours interrogés et deux sont activement recherchés, a indiqué mardi le ministre de l'Intérieur, M. Chakib Benmoussa. Dans un exposé devant la Chambre des conseillers, M. Benmoussa a précisé que les investigations ont abouti à la conclusion que les auteurs des opérations terroristes du 11 mars et 10 avril appartenaient à une seule cellule, constituée d'éléments de la Cellule d'Abdelmalek Bouzgarne et de Youssef Addad (en prison depuis 2004), qui dépendait du Groupe Assirat Al-Moustaqim. A la suite d'un différend en raison, essentiellement, de l'absence de consensus autour de l'organisation et du timing de l'exécution des opérations, la cellule s'est scindée en deux groupes, dont la première a pris l'appellation de Abdelfettah Raïdi, composéd principalement d'éléments de la Salafia jihadia, tous pressés de passer aux actes terroristes. C'est ce groupe qui est à l'origine des évènements du 11 mars dernier. Le deuxième groupe a quant à lui été derrière les évènements du 10 avril courant.

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