Servaty

Les familles des jeunes filles emprisonnées dans le cadre de l’affaire Philippe Servaty à Agadir gardent espoir. Elles viennent de créer l’association «Anaruz» (espoir) pour le soutien des femmes victimes de l’exclusion et de l’intolérance.

Cadrage : Clichés Beaucoup de ces nanettes ont étouffé leurs cris, toute honte bue, espèrant tirer de leur soumission gagner le mirage européen

Promettant monts et merveilles à de jeunes filles marocaines, Philippe Servaty est poursuivi aujourd’hui, en Belgique, pour outrage aux bonnes mœurs. Des plaintes en provenance du Maroc sont attendues contre ce journaliste du quotidien belge, «Le Soir».

Un procès-verbal est en train d’être dressé au niveau de la Police fédérale belge à l’encontre de Philippe Servaty, le journaliste belge du journal “Le Soir” à l’origine de l’affaire des photos pornos de femmes marocaines qui ont circulé, à leur insu, sur des CD et sur Internet. Les résultats de l’enquête devraient être remis au Parquet de Bruxelles, compétent en principe dans cette affaire dans la mesure où le mis en cause habite la ville de Bruxelles. Aucune demande de commission rogatoire de la part des autorités marocaines n’a encore été enregistrée jusqu’à ce jour.

[b]Philippe Servaty, le pornographe belge d’Agadir :[/b] Philippe Servaty, l’homme par qui le scandale pornographique d’Agadir arriva, fait l’objet à présent d’une double procédure judiciaire lancée respectivement par le Maroc et la Belgique. À Bruxelles, comme à Agadir, le pervers sexuel belge, devra répondre d’actes gravissimes qui ont conduit 12 jeunes filles marocaines en prison.

Scandale du CD pornographique d’Agadir Plusieurs semaines après l’éclatement du scandale de pornographie d’Agadir, la piste du pervers sexuel belge qui a jeté 12 filles en prison se précise. C’est bel et bien Philippe Servaty, l’ex-journaliste du quotidien belge “Le Soir”. Si le maudit Servaty ( alias Belguel sur internet) court toujours, mais pas pour longtemps, tous les indices conduisent aujourd’hui à sa véritable identité. LGM a suivi ses traces, a enquêté dans son entourage, publie en exclusivité ses photos et dévoile ses démêlés avec la police marocaine qui remontent à avril 2004. Enquête.

Un procès-verbal est en train d’être dressé au niveau de la Police fédérale belge à l’encontre de Philippe Servaty, le journaliste belge du journal “Le Soir” à l’origine de l’affaire des photos pornos de femmes marocaines qui ont circulé, à leur insu, sur des CD et sur Internet. Les résultats de l’enquête devraient être remis au Parquet de Bruxelles, compétent en principe dans cette affaire dans la mesure où le mis en cause habite la ville de Bruxelles. Aucune demande de commission rogatoire de la part des autorités marocaines n’a encore été enregistrée jusqu’à ce jour.