derrahmane a été condamné, récemment, à Casablanca, à la perpétuité, pour avoir torturé et assassiné sa concubine. Donnant l’air d’un homme sage, Abderrahmane est rentré à la salle d’audience de la chambre criminelle de première instance, près la Cour d’appel de Casablanca. Barbu, il portait une djellaba blanche et des babouches jaunes. Né en 1960 à Casablanca, Abderrahmane a passé huit ans sur les bancs des écoles avant de les quitter définitivement. Il a trouvé sa voie dans le trafic de drogue. Il n’était qu’à son seizième printemps quand il a été incarcéré pour la première fois. Relâché, puis, remis en prison à plusieurs reprises, il a été derrière les barreaux une vingtaine d’années.
Voir la suite »Echec d’introduction de drogue dans la prison d’Aït Melloul
L'un des employés chargés du contrôle des provisions destinées aux pensionnaires de la prison civile d'Aït Melloul (préfecture d'Inezgan Aït Melloul) a pu saisir environ 570 grammes de chira dissimulés dans 11 oranges. L'un des employés chargés du contrôle des provisions destinées aux pensionnaires de la prison civile d'Aït Melloul (préfecture d'Inezgan Aït Melloul) a pu saisir environ 570 grammes de chira dissimulés dans 11 oranges. Le comportement d'une dame, qui rendait visite à son frère, condamné à 3 ans de prison pour trafic de drogue, a suscité la suspicion de l'employé chargé de réceptionner les provisions. Aussi, a-t-il effectué un contrôle minutieux du contenu du cabas avant de découvrir qu'il contient de la drogue, a-t-on indiqué, mercredi, de source judiciaire.
Voir la suite »Le ministére de la justice dément les maltraitements dans la prison de salé
Le ministère de la justice a affirmé que les informations publiées par des organes de presse, selon lesquelles des détenus de la prison civile de Salé font l'objet de traitements inhumains, sont sans fondement. Dans un communiqué, dont une copie est parvenue samedi à la MAP, le ministère précise que le rapport élaboré par une association et publié récemment par certains organes de presse nationaux et internationaux au sujet de traitements inhumains infligés à certains détenus de la prison civile de Salé et qui cite les témoignages de certains détenus prétendant avoir subi des traitements inhumains, contient des informations erronées et des faits sans fondement. Après la publication des ces témoignages, le ministère a dépêché un représentant du parquet général et le magistrat d'exécution des peines, pour mener une enquête minutieuse à ce sujet et établir la vérité sur les allégations visant la direction pénitentiaire et les gardiens, ajoute le communiqué, soulignant que le ministère a également dépêché sur les lieux une commission d'inspection qui n'a découvert, au terme de ses investigations, aucun élément permettant d'étayer ces allégations.
Voir la suite »Il écope de 20 ans de prison pour sauver sa sœur
Sous l’effet de comprimés psychotropes, Mostafa, 33 ans, sans profession, a assassiné froidement celui qui a tenté de violer sa sœur en lui assénant 27 coups de couteau. «Je n’ai jamais eu l’intention de le tuer, M. le président ! », déclare Mostafa devant les magistrats de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca.
Voir la suite »Safi: condamnation d’un individu à 4 mois de prison pour fraude électorale
Le tribunal de Première instance de Safi a condamné, lundi soir, à quatre mois de prison ferme, assortis d'une amende de 10.000 dirhams, un individu inculpé pour fraude électorale lors du scrutin législatif du 7 septembre dernier.
Voir la suite »Ils préparaient leurs coups en prison
Deux jeunes hommes se sont rencontrés en prison. Et c’est là où ils ont planifié leurs coups pour devenir, après leur libération, un duo spécialisé dans le vol des vélomoteurs. Chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca. La salle d’audience est archicomble. À la barre se tiennent Samir et Rédouane. Tous deux sont poursuivis en état d’arrestation pour vol de vélomoteurs. Qui sont-ils ? Comment sont-ils devenus des repris de justice ? C’est en 1982 que Rédouane a vu le jour dans une famille indigente de Hay Mohammadi à Casablanca. Il quitte très tôt les bancs de l’école alors qu’il n’était qu’en primaire. Pas d’inscription à la formation professionnelle, ni d’apprentissage auprès d’un artisan. C’est dans la rue que Rédoaune se sentait le mieux.
Voir la suite »Grâce royale au profit de 934 prisonniers
A l'occasion de la Fête du Trône, SM le Roi Mohammed VI a accordé Sa grâce à 934 personnes condamnées par différents tribunaux du Royaume, indique un communiqué du ministère de la Justice. En voici le texte:. A l'occasion de la Fête du Trône de cette année 1428 H.-2007 G. Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu perpétue Sa gloire, a bien voulu accorder Sa grâce à un ensemble de personnes dont certaines sont en détention et d'autres en liberté. Condamnées par différents tribunaux du Royaume, ces personnes sont au nombre de 934 se répartissant comme suit:. - Grâce sur le reliquat de la peine d'emprisonnement ou de réclusion au profit de 26 détenus. - Remise de la peine d'emprisonnement ou de réclusion au profit de 810 détenus.
Voir la suite »Un an de prison pour détournement de mineure
Mineure, Samia est tombée dans les filets d’un MRE qui a lui a promis le mariage pour coucher avec elle. Il l’a abandonnée pour ne plus donner signe de vie. Samia est à son 17e printemps. C’est une lycéenne bien disciplinée et assidue car elle ne rate jamais ses cours. Malgré son très jeune âge, elle semblait être une fille mûre, prudente et très sérieuse. C’est du moins ce que remarquaient ses parents, ses voisins et ses amies. Malheureusement, ses comportements ont changé depuis quelque mois. Elle ne rentrait plus chez elle à l’heure et négligeait de plus en plus ses études.
Voir la suite »Affaire ‘Ansar El Mehdi’: 4 ans de prison pour 3 accusés
Trois accusés de la ville de Salé ont été condamnés mercredi à quatre ans de prison ferme chacun pour liens avec la cellule Ansar El Mehdi, composée de 50 membres poursuivis dans la cadre de la loi antiterroriste. La Chambre criminelle (1er degré) de l'annexe à Salé de la Cour d'appel de Rabat a ainsi condamné les dénommés Rabî Ghanem, Rachid Souhali et Mohamed Koreâa pour constitution de bande criminelle dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes dans la cadre d'un projet collectif visant à porter atteinte à l'ordre public, réunions publiques sans autorisation et adhésion à une association non autorisée. Par ailleurs, la Cour a condamné, dans une affaire, sept accusés à des peines allant de 2 à 3 ans de prison ferme. Les accusés appartenaient à la cellule dite de Nador. Ils étaient poursuivis pour constitution de bande criminelle dans l'intention de préparer et de commettre des actes terroristes, collecte et gestion de fonds pour financer des actes terroristes, réunions publiques sans autorisation et adhésion à une association non autorisée.
Voir la suite »20 ans de prison pour une bonne
Une jeune domestique, qui a tué la mère de son employeuse pour subtiliser des bijoux, a été condamnée à 20 ans de réclusion criminelle. Sa complice a écopé de deux ans de prison ferme. Nous sommes à la Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Nadia se tenait au box des accusés à côté de Saâdia. «Nadia, tu es accusée d’homicide volontaire avec préméditation et vol qualifié. Saâdia, tu es accusée de complicité au vol qualifié», a déclaré le président de la Cour aux deux femmes. Qui sont-elles et comment ont-elles été mouillées dans une affaire aussi sordide ?
Voir la suite »Six ans de prison pour le viol d’une femme
Pour avoir séquestré et violé une mère de trois enfants, Nouredine, repris de justice, a été condamné à Casablanca à 6 ans de réclusion criminelle. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d'appel de Casablanca. Nouredine, qui se tient au box des accusés, ne manifeste aucun signe d’inquiétude. Il semble que ce monde des salles d’audience, des bancs et des box des accusés, des magistrats, des avocats et des geôles lui était familier. Effectivement, pour lui, ce monde n’était pas étrange puisqu’il était un repris de justice notoire. À son dix-huitième printemps, il avait déjà purgé une peine de huit mois de prison ferme pour vol coups et blessures. Et trois ans plus tard, il a été condamné à deux ans de prison ferme pour complicité au vol qualifié. «Je suis innocent…Je n’ai contraint aucune fille pour faire l’amour avec moi…», clame-t-il à haute voix.
Voir la suite »9 étudiants condamnés à des peines de 8 mois d’emprisonnement chacun
Neuf étudiants ont été condamnés, mardi soir, par le tribunal de 1ère instance de Rabat, à des peines de huit mois d'emprisonnement ferme assortis de 500 dhs d'amende chacun pour attroupement sur la voie publique et coups et blessures contre un fonctionnaire durant l'exercice de ses fonctions. Neuf étudiants ont été condamnés, mardi soir, par le tribunal de 1ère instance de Rabat, à des peines de huit mois d'emprisonnement ferme assortis de 500 dhs d'amende chacun pour attroupement sur la voie publique et coups et blessures contre un fonctionnaire durant l'exercice de ses fonctions.
Voir la suite »condamné à deux ans et demi de prison ferme
La chambre pénale près la Cour d'Appel de Marrakech a condamné lundi (A.N), président de la Chambre d'Artisanat de Marrakech et de Kelaat des Sraghnas, à deux ans et demi de prison ferme pour escroquerie et falsification de contrats dans le cadre d'une affaire dite Arsat Boukrâa. La chambre pénale a condamné également cinq complices du principal accusé à des peines d'emprisonnement allant d'une année à deux ans et demi, alors qu'elle a décidé de reporter au 2 juillet prochain l'examen du dossier d'un sixième complice.
Voir la suite »Une fille de joie condamnée à 20 ans de prison
Pour avoir tué son client, une fille de joie a été condamnée par la chambre criminelle près la Cour d’appel de Settat à 20 ans de réclusion criminelle. «Je me suis déshabillée. J’ai remarqué qu’il n’a pas déboutonné son pantalon. Une fois je me suis allongée sur le lit, il a brandi un petit couteau, m’a menacée de meurtre si je réagis et il s’est apprêté à me ligoter les mains et les pieds…Il voulait cambrioler la maison…Mais… ». Hafida, qui comparaît en état d’arrestation devant la chambre criminelle près la Cour d’appel de Settat, ne termine pas sa déclaration. Elle se tait. Le président de la Cour lui demande de continuer. Elle se contente de baisser ses yeux comme si elle évite ses regards et garde le silence. Pourquoi ? Ne dit-elle pas la vérité ? Le procès-verbal de son audition révèle une autre vérité. Laquelle?
Voir la suite »Procès de l’enfant Yassine : cinq ans de prison ferme pour la principale accusée
Le Tribunal de 1ère instance de Marrakech a condamné, lundi soir, à cinq ans de prison ferme la mère adoptive (Z.R) de l'enfant Ahmed Yassine, martyrisé et trouvé délaissé sur le toit d'une demeure dans l'ancienne médina de la cité ocre. Le deuxième accusé dans cette affaire (A.G) a été condamné à deux ans de prison ferme pour non assistance à une personne en danger. Le tribunal a également condamné les deux accusés à verser une amende de 100.000 DH à la mère de l'enfant, en guise de dédommagement du préjudice subis par son fils.
Voir la suite »Agadir : deux mois de prison pour deux étudiants
Le tribunal de première instance d'Agadir a condamné jeudi à deux mois de prison ferme et à une amende de 1.000 dirhams, deux étudiants originaires respectivement de Kalaat Megouna et Tinghir, impliqués dans de récents affrontements entre étudiants, alors qu'un troisième étudiant, lui aussi originaire de Tinghir, a écopé de six mois de prison avec sursis et d'une amende similaire. Le tribunal de première instance d'Agadir a condamné jeudi à deux mois de prison ferme et à une amende de 1.000 dirhams, deux étudiants originaires respectivement de Kalaat Megouna et Tinghir.
Voir la suite »Drogue, alcool, viol… et prison
Mostafa, repris de justice alias «Al Gaouri», a été condamné par la Cour d’appel d’El Jadida à six ans de réclusion criminelle pour viol. Son complice Abderahman, a écopé de quatre ans de prison ferme. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d’appel d’El Jadida. D'allure sportive, « Al Gaouri » comparait, en état d’arrestation, devant la cour. Son complice se tient à ses côtés.
Voir la suite »Prison pour Ghoulam
Un mois de prison ferme, assorti d'une amende de 1000 DH, pour le chanteur vedette d'Al Adl Wal Ihssane, Rachid Ghoulam, et la femme avec laquelle il a été surpris en flagrant délit d'adultère. Le dénommé Rachid Ghoulam, qui a été interpellé le 25 mars en flagrant délit d'adultère à El Jadida, vient d'écoper d'un mois de prison ferme, ainsi que d'une amende de 1000 DH, avec sa complice qui répond au nom d'Asmaâ Rkik. Le verdict, rendu dans la nuit de vendredi à samedi par le tribunal de première instance d'El Jadida, vient confirmer l'accusation portée contre le prévenu, surnommé le «rossignol» de l'association islamiste «Al Adl Wal Ihssane», soit l'incitation à la débauche. Sa complice, elle, était poursuivie pour incitation à la débauche et participation.
Voir la suite »De l’inceste à la prison ferme
Pendant dix-sept années, Abdenbi, 46 ans, et sa nièce, Khadija, 44 ans, entretenaient une relation incestueuse à Youssoufia. Tous deux viennent d’être condamnés à la prison. Nous sommes à la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Youssoufia. Cet après-midi du lundi 5 février 2007, la salle d’audience est archicomble. La majorité de l’assistance attend l’affaire de Khadija et Abdenbi. Personne, dans cette petite ville, située à 90 km de l’est de Safi, n’aurait imaginé qu’une telle affaire aurait pu éclater à Youssoufia. C’est une histoire qui dépasse leur imagination au point que leur engouement d’assister au procès ne prouve, en fait, que leur envie de se convaincre qu’elle est vraie et non pas une fiction. Quelle est donc la vraie histoire de Khadija et Abbenabi ?
Voir la suite »Un pédophile mis en prison à El Jadida
A 12 ans, Nawal a eu une relation avec un homme âgé de 20 ans. Cinq ans plus tard, les deux amants ont été appréhendés. Ahmed a été condamné à deux ans de prison ferme pour attentat à la pudeur d’une mineure ayant entraîné sa défloration. De son douzième anniversaire, Nawal se souvient comme si c’était hier. A l’arrivée des premiers signes annonciateurs de son entrée en puberté, elle avait commencé à se laisser emporter par des flots amers de susceptibilité, suffoquant de maladives timidités, avec la perpétuelle envie de mordre ou de pleurer.
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