Bank Al Maghrib, accuse les sociétés de distribution de produits pétroliers de ne pas répercuter les baisses des prix du pétrole sur le consommateur marocain. Une conférence de presse a été organisée cette semaine, où le thème abordé était sur la flexibilité du dirham, le Wali, Abdellatif Jouahri a exprimé …
Voir la suite »chute des recettes fiscales de de 11,7% au premier semestre 2009
Pour les six premiers mois de l’année en cours, les recettes fiscales ont connu un recul de 11,7%, soit 10,9 milliards de dirhams. Les impôts directs représentent l’essentiel du recul des recettes fiscales.
Voir la suite »Baisse des prix de certains carburants entre 9 et 26 % à partir de lundi
Une nouvelle structure des prix des produits pétroliers entrera en vigueur à compter de ce lundi et sera marquée par une baisse considérable des prix de certains carburants, variant entre - 9pc et -26 pc, dans le but de soutenir le pouvoir d'achat des citoyens, a-t-on annoncé dimanche.
Voir la suite »Le PJD appelle le gouvernement à autoriser les banques islamiques
Le Parti de la justice et du développement initie aujourd’hui à la Chambre des représentants une rencontre-débat autour des effets de la crise financière internationale sur l’économie nationale. Le débat sur le projet de loi de Finances qui sera présenté aujourd’hui au Parlement par le ministre Salaheddine Mezouar s’annonce houleux. Le Parti de la justice et du développement qui est dans l’opposition s’alarme déjà de l’inadéquation de ce projet avec la crise économique qui secoue le monde entier. «Le projet de loi de Finances a été établi aux mois de juillet et août derniers, il ne tient donc pas compte des développements survenus récemment sur les places financières», alerte le député PJD Lahcen Daoudi, qui participe, aujourd’hui à partir de 14H00, à une rencontre-débat initiée par son parti à la Chambre des représentants pour discuter des effets de la crise internationale sur l’économie nationale.
Voir la suite »Le pétrole perd près de 3 dollars (92,92 USD)
Le prix du brut a perdu près de 3 dollars mardi dans les échanges électroniques en Asie, au lendemain de l'annonce de la faillite de la banque d'affaires américaine Lehman Brothers.
Voir la suite »Nouveau record du pétrole brut à 112,48 dollars le baril
Le pétrole brut a établi un nouveau record mardi, le baril de light sweet crude pour livraison en mai ayant atteint un pic à 112,48 dollars américains dans les échanges électroniques en Asie, selon des courtiers. Dans les échanges de fin de matinée, le prix du baril de light sweet crude pour livraison en mai atteignait 112,48 dollars, soit un nouveau record, avant de se replier à 112,33 dollars. Le précédent record avait été établi mercredi à 112,21 dollars.
Voir la suite »Pétrole et blé : Une facture qui pèse lourd sur la balance commerciale
Le chiffre du mois de février sur le bilan des échanges extérieurs de l’Office des changes concerne l’accroissement des importations de pétrole et de blé, qui représentent 51,3% de la hausse totale des importations. À voir les indicateurs mensuels des échanges extérieurs de l’Office des changes, l’on constate aisément la part du pétrole et du blé dans les importations marocaines. Cela dans la mesure où les achats marocains de pétrole brut et de blé ont encore plus dopé les importations qui ont atteint, à l’issue des deux premiers mois de cette année, un chiffre de l’ordre de 46,97 milliards de dirhams, soit une hausse de 32,5% par rapport à la même période de l’année dernière. Ainsi, la hausse qui a caractérisé les importations de pétrole et de blé, respectivement de 3,33 milliards de dirhams et 2,56 milliards de dirhams, contribue à elle seule à hauteur de 51,3% dans la progression globale enregistrée par les importations.
Voir la suite »Le baril de pétrole perd 51 cents en Asie (100,35 USD)
Les cours du pétrole étaient en baisse mardi dans les échanges électroniques en Asie, en raison des craintes persistantes d'une possible baisse de la demande énergétique liée au ralentissement économique aux Etats-Unis. Les cours du pétrole étaient en baisse mardi dans les échanges électroniques en Asie, en raison des craintes persistantes d'une possible baisse de la demande énergétique liée au ralentissement économique aux Etats-Unis.
Voir la suite »Chute de presque 5 dollars des prix de pétrole à New York
Les prix du pétrole ont enregistré un recul de plus de cinq dollars mercredi soir, dans le sillage des craintes d'une possible baisse de la demande énergétique en raison du ralentissement économique. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude pour livraison en avril, dont c'était le dernier jour de cotation, a fini à 104,48 dollars, en baisse de 4,94 dollars par rapport à la clôture de mardi.
Voir la suite »Le gouvernement prépare un plan face à la flambée des cours du pétrole
Face à une flambée continue des cours pétroliers, le Maroc devrait tirer profit de la coopération avec l’UE ainsi que du protocole de Kyoto. Aggravation du défit commercial, surcoût de production affectant la compétitivité des entreprises, ponction sur le revenu des consommateurs… Le renchérissement durable des cours pétroliers s’avère défavorable pour l’économie nationale. C’est ce que vient d’affirmer, encore une fois, la Direction des études et des prévisions financières relevant du ministère des Finances et de la Privatisation. Dans une étude intitulée « Développements récents sur le marché pétrolier mondial.
Voir la suite »Hausse de la valeur des importations de pétrole en 2006
Les importations marocaines en pétrole brut ont atteint, au terme de l'année 2006, quelque 25,1 milliards de dirhams (MMDH), s'inscrivant ainsi en hausse de 5,1 % par rapport à 2005, pour un volume importé en baisse de 11,3 % (6,26 millions de tonnes), indique l'Office des Changes. Cet accroissement de la facture pétrolière s'explique essentiellement par le renchérissement des cours du pétrole sur le marché international. Le prix moyen de la tonne importée a progressé de 18,4 %, passant de 3.394 DH/T à 4.020 DH/T, précise l'Office des Changes, qui vient de publier les indicateurs mensuels des échanges extérieurs du Maroc pour l'année 2006. Pour le seul mois de décembre dernier, les achats de pétrole brut se sont inscrits en hausse de 19,9 % en valeur et de 22,3 pc en volume.
Voir la suite »Les cours du pétrole repartent à la hausse
Alors qu'en début de semaine ils étaient quasiment stables, les prix du pétrole sont repartis en légère hausse. Hier, le baril de «light sweet crude» pour livraison en décembre valait 59,57 dollars alors que le Brent de la mer du Nord approchait les 60,10 dollars. D'après les courtiers, ce rebond des cours de l'or noir serait imputable pour l'essentiel à la vague de froid qui frappe les Etats-Unis.
Voir la suite »Hausse du prix du pétrole, une manne pour les pays exportateurs
La hausse actuelle des prix de l'or noir offre au secteur de production de pétrole l'opportunité d'engranger des revenus plus élevés dans les pays exportateurs, indique un document de la Banque africaine de développement (BAD).
Voir la suite »Pétrole: l’Opep exclut de réduire sa production
Le président de l'Opep, cheikh Ahmad Fahd al-Sabah, a exclu lundi que son organisation réduise sa production de pétrole, en dépit du fait que les prix du brut ont récemment commencé à baisser.
Voir la suite »Hausse de 53 % des importations du pétrole brut à fin juillet 2005
Les importations marocaines en pétrole brut ont atteint, au terme des sept premiers mois de l'année en cours, environ 12,2 milliards de dirhams, s'inscrivant ainsi en hausse de 53,5 % par rapport au niveau enregistré une année auparavant (7,94 milliards), indique l'Office des changes.
Voir la suite »Le pétrole à 65 dollars le baril : L’or noir joue les «bruts»
A chaque jour son nouveau record. Hier, les prix du pétrole ont, pour le quatrième jour d'affilée, battu de nouveaux records, pour s'installer au-dessus de la barre des 65 dollars, en raison d'achats massifs par les spéculateurs et d'inquiétudes sur les problèmes de raffinage. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de brut, toujours haut perché, a atteint 65,30 dollars, nouveau record depuis le début de la cotation de cette variété de pétrole en 1983.
Voir la suite »Flambée du pétrole : + 1,69 $ en 24 h = 64 $ le baril
Les cours du pétrole ont inscrit de nouveaux records hier, à près de 64 dollars le baril à New York, soit une progression de 40 % en un an. La dernière flambée s'explique par des craintes concernant la sécurité en Arabie Saoudite et la détermination de l'Iran à poursuivre son programme nucléaire. A ces deux raisons, s'ajoute le déficit de raffinage récurrent aux Etats-Unis.
Voir la suite »Hausse de 72,6 % des importations de pétrole
Au terme des cinq premiers mois de 2005 Les importations marocaines en pétrole brut ont atteint, au terme des cinq premiers mois de l'année en cours, environ 8 milliards de DH contre 4,59 milliards une année auparavant, soit une hausse de 72,6 %, indique l'Office des changes. Cet accroissement s'explique essentiellement par le renchérissement des cours du pétrole sur le marché international. Le prix moyen de la tonne importée a augmenté en effet de 35,9 %, passant de 2.108 DH/T à 2.864 DH/T, relève-t-on dans les derniers chiffres de l'Office publiés sur son site Internet. Cette hausse en valeur a été accompagnée d'une progression moins importante en volume (+27,1 %). Le tonnage importé est passé de 2,17 millions de tonnes à 2,76 millions de tonnes entre les deux périodes sous revues.
Voir la suite »Pauvreté en Afrique, pétrole, conflit israélo-palestinien ……….
Plusieurs dossiers principaux figurent à l’ordre du jour du sommet des pays du G8 du 6 au 8 juillet, dont la lutte contre la pauvreté en Afrique et le réchauffement climatique.
Voir la suite »Le pétrole entre choc des prix et spectre de la pénurie
les prix du pétrole se sont rapprochés de 60 dollars le baril (59,29 euros), lundi 20 juin, à New York. Les marchés craignent une rupture des approvisionnements à la fin de l'année si les pays producteurs notamment ceux de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) ne parviennent pas à répondre à une forte croissance de la demande au cours de l'hiver. Mais la question lancinante, qui revient sans cesse, est à beaucoup plus long terme. C'est celle de la baisse inéluctable des réserves pétrolières, qui pèse désormais de façon quasi structurelle à la hausse sur les cours. On est certes encore loin de la pénurie. Avec 85 millions de barils par jour, jamais le monde n'a pompé autant d'or noir. Au rythme actuel, le monde produira 121 millions de barils en 2030, dont la plus grande part proviendra alors de capacités qu'il reste à construire , estime l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
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