Homosexualité

Homosexuel, un boulanger âgé de 46 ans s’est abstenu de coucher avec son amant, âgé de 19 ans. Résultat : le jeune a égorgé le quadragénaire. Nous sommes le samedi 4 avril. Un boulanger disposant d’une boulangerie au rez-de-chaussée de l’immeuble où il demeure au quartier Al Âlia, à Mohammédia, devait rentrer chez lui après avoir terminé son travail. Sa femme et ses trois enfants l’ont attendu jusqu’à minuit. Mais, il n’est pas rentré. Le lendemain, dimanche, il n'a pas donné signe de vie. L’épouse a frappé aux portes des commissariats de police, de l’hôpital et de la morgue. En vain. Où était-il ? Aucune réponse. Le surlendemain, lundi, le boulanger est toujours absent. Même ses deux employés n’ont pas donné signe de vie. L’épouse a décidé d’ouvrir la boulangerie pour se rassurer s’il s’y trouvait ou pas. Avec ses trois enfants, elle a ouvert la porte. Calmement, elle est entrée. Tout d’un coup, elle a lancé un cri strident. Elle a remarqué le corps de son mari, gisant dans une mare de sang coagulé, en début de décomposition.

Un mois et demi après le meurtre d’un ressortissant français homosexuel, un deuxième trouve le même sort. Un homosexuel, ressortissant français, installé à Casablanca depuis quatre ans a été retrouvé, dimanche matin, corps sans âme, dans sa villa située au boulevard Oum Errabiî, quartier Al Oulfa. Il s’agit de Christian Roland, né en 1950. Il était instituteur en France avant de prendre sa retraite et de s’installer à Casablanca. C’est l’un des employés du ressortissant français qui a découvert le corps, criblé de coups par un objet tranchant et gisant dans une mare de sang lorsqu’il a mis ses pieds à l’intérieur de la villa, apprend-on de sources judiciaires. Une fois alertés, les éléments de la police judiciaire de Hay Hassani-Aïn Chock se sont dépêchés sur les lieux pour effectuer le constat et diligenter une enquête pouvant mettre la main sur le (ou les) auteur (s) de ce crime.

Hassan était un homosexuel actif. Il décide de tourner la page, mais son ami Hussein lui a rappelé devant leurs amis son passé d’homosexuel. En conséquence, il l’a fait taire à jamais.

Moussem de Sidi Ali Ben Hamdouch : Pas moins de vingt-et-une personnes ont été arrêtées, samedi dernier, au moussem de Sidi Ali Ben Hamdouch, pour atteinte aux mœurs, avant d’être déférés devant le procureur du Roi près le tribunal de première instance de Meknès.

Le ministre de l'Intérieur, Chakib Benmoussa, a indiqué lors d'une intervention devant le Parlement qu'il n'y a pas eu de mariage homosexuel à Ksar El Kébir. Il ne s'agissait pas d'un «mariage homosexuel», mais d'une cérémonie «liée à des rituels de charlatanisme». C'est en ces termes que le ministre de l'Intérieur, Chakib Benmoussa, s'est exprimé, mercredi au Parlement, sur l'affaire de Ksar El Kébir. L'enquête menée par les autorités compétentes a révélé, a indiqué M. Benmoussa, que «les premières investigations montrent que cette fête est liée à des rituels qui relèvent du pur charlatanisme».

Pour se débarrasser de son amant, un ressortissant espagnol sexagénaire, un jeune Marocain de 19 ans choisit de le tuer avant de s’enfuir à bord de sa voiture. Quartier Assalam, à El Jadida. Il est 17 h lorsque des véhicules de la police judiciaire s’arrêtent devant une résidence. Les agents de la PJ montent rapidement au premier étage. Ils cherchent l’appartement d’un artiste-peintre d’origine espagnole, Juan D.L, âgé de 70 ans.

Amine, 20 ans, a été reconnu coupable du viol de cinq femmes et du meurtre d’un homme. Il a été arrêté à El Jadida et condamné à 20 ans de réclusion criminelle. Il n’avait jamais purgé une peine de prison. Amine était un citoyen comme les autres jusqu’au jour où il s’est fait arrêter pour avoir commis deux crimes : le viol et le meurtre. Quand il a été appelé à la barre par le président de la chambre criminelle près la cour d’appel de Casablanca, il a senti le monde s’effondrer autour de lui. Il a eu du mal à s’extraire de son banc. Il a donc fallu que le président l’appelle une seconde fois pour qu’il se lève et avance vers le box des accusés.

Une semaine après la découverte du cadavre d’un ressortissant français à El Jadida, la police a mis la main sur les deux auteurs du crime et sur leur complice. Un crime crapuleux sur fond d’homosexualité. Bernard, ressortissant français, est tombé amoureux du Maroc. C’est ce qui a encouragé ce septuagénaire dynamique à acquérir un appartement dans une résidence huppée d’El Jadida. Il a pris l’habitude de s’y installer de temps en temps à l’occasion de ses fréquents séjours touristiques dans notre pays. Jusqu’à son dernier retour dans son pays, qu’il a effectué dans un cercueil…

Le sex-ratio en Chine montre un déséquilibre qui pourrait se solder par un désastre humanitaire puisque 25 millions d'hommes ne pourront trouver leur épouse aux alentours de 2020, a déclaré un démographe chinois. Cela pourrait être un désastre humanitaire à grande échelle , écrit le professeur Mu Guangzhong de l'Institut de recherche démographique de l'Université de Pékin dans un article publié dans le dernier numéro du Study Times.

Trois homosexuels, qui se prostituaient dans les alentours du tribunal de première instance d’Inzegane, ont tué un ivrogne pour les avoir traités de «pédés».