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haschich

Pour obtenir de la drogue, il passait sa mère à tabac

Pour avoir sa dose quotidienne de drogue, Khaled était prêt à frapper sa mère et sa sœur pour leur soutirer de l’argent. Il a été condamné à un an de prison ferme «Je me drogue pour ne plus penser à rien», balbutie Khaled devant le tribunal. Vêtu d’un tee-shirt jaune et d’un blue-jeans et chaussé d’une sandale, Khaled se tient calmement au box des accusés, à la salle d’audience n°8 de la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca.

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Cinq violeurs derrière les barreaux

La chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca a condamné une bande de cinq malfrats à des peines allant de deux à six ans de réclusion criminelle pour constitution d’une association de malfaiteurs, vol qualifié et viol. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Cinq jeunes se tiennent devant les magistrats. Ils ne semblent guère impressionnés par cette tension qui règne dans la salle d’audience bondée ni par les peines qu’ils encourent. Ils échangent même des sourires et parfois chuchotent, avant que le président ne les rappelle à l’ordre. Silence, les cinq prévenus devront répondre, à tour de rôle, aux questions de la cour. Khaled, Saïd, Mohamed, Rachid et Bouchaïb sont âgés respectivement de 20, 19, 30, 28 et 27 ans. Ils sont tous chômeurs.

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Une idylle finit dans le sang

Après une histoire d’amour qui a duré plus de dix ans, Abdellah a fini par tuer sa femme. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Abdellah se tient au box des accusés. Il est poursuivi pour coups et blessures ayant entraîné la mort de sa femme, Jamila. Pourquoi l’a-t-il assassinée ? Quand il était arrivé à son quinzième printemps, il a commencé à découvrir les premiers tourments de l'amour. Une fois qu’il a croisé Jamila, sa voisine du quartier, il a eu le sentiment que son cœur s'arrachait littéralement de sa place. Ses idées étaient perturbées au point qu’il ne pouvait plus se concentrer sur ses études. L’image de Jamila hantait son esprit. Et enfin, il a pris l’initiative de lui adresser la parole. Il lui a avoué son amour qui l’empêchait de dormir. Et c’était le début d’une relation amoureuse débordante et débridée. Au fil du temps, Abdellah a abandonné les études pour gagner sa vie en travaillant dans une usine de confection. Sa bien aimée ne l’a jamais quitté bien que des moments difficiles planaient de temps en temps sur leur relation. Elle ne pensait qu’à lui jour et nuit, qu’à être sous le même toit en sa compagnie, qu’à avoir des enfants et vivre ensemble pour l’éternité.

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Vengeance mortelle entre dealers

La vengeance est un plat qui se mange froid, dit l’adage. Pour lui avoir piqué sa petite amie et son fief, Jamal tue Mohamed. Quand Mohamed est arrivé, ce jour du mois de juin, au quartier « La Renaissance », à Khemisset, il n’a pas imaginé qu’il y laisserait la peau. D’abord, ce jeune de vingt-trois ans s’est habitué à s’y rendre bien qu’il demeure un peu plus loin, non pas pour rencontrer des amis, ni pour rendre visite à un membre de sa famille. Il fréquentait souvent les lieux pour liquider des quantités de drogue : haschich et comprimés hallucinogènes. Que s'était-il passé cet après-midi ?

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Un clochard viole sa grand-mère

Sous l’effet de l’alcool à brûler, un jeune clochard a violé sa grand-mère. Il a été condamné à 6 ans de réclusion criminelle par la Cour d’appel d'El Jadida. El Jadida. Nous sommes à la Chambre criminelle près la Cour d’appel. La salle d’audience est archicomble. Portant un jean et un pull jaune, un jeune homme se tient au box des accusés. «Aziz, âgé de vingt et un ans, sans profession…», commence le président de la cour pour vérifier l'identité de l'accusé. Aziz n’ose pas regarder du côté des magistrats. Sinon de manière furtive. À sa gauche, une vieille femme se tient péniblement debout au point que le président de la Cour lui a permis de s’asseoir.

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Des soupçons meurtriers

Parce que les traits de son deuxième enfant ressemblent à ceux de son frère, Mustapha a cru que sa femme le trompait. Pour mettre fin à ses doutes, il assassine son épouse. Mustapha n’a jamais pensé avoir un fils qui ressemble à son frère. Pour lui, un enfant ne doit avoir que les traits de son propre géniteur. À chaque fois qu’il remarquait, à son douar de Tlate Sidi Bougadra, province de Safi, un enfant qui ressemble à un membre de sa famille et non pas à ses propres parents, il doutait des comportements de sa mère. Étrange idée qui va le jeter dans le gouffre de la suspicion, puis en prison.

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Saisie de plus d’une tonne de haschich au port de Tanger

Les éléments de la douane au poste frontière du port de Tanger ont réussi à saisir, durant le week-end, une quantité de plus d'une tonne de haschich en trois opérations distinctes. Samedi en fin d'après midi, les douaniers ont intercepté un camion TIR qui tentait d'embarquer à destination d'Algésiras avec à bord une quantité de 900 kg de haschich. Le contrôle au scanner a permis la découverte de la quantité de drogue dissimulée dans une cache aménagée au niveau du plancher de la remorque. Selon les premiers éléments de l'enquête, la drogue avait pour destination le marché belge. Le camion avait pris livraison d'un chargement de melons à Kenitra. Le chauffeur, Said A., et le gérant d'une société d'export, Mohamed B., ont été arrêtés. Dans la nuit de dimanche à lundi, les douaniers ont opéré une deuxième grosse prise de résine de cannabis sur un camion TIR qui acheminait une livraison de melons et de légumes à destination de l'Espagne.

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Drogue, alcool, viol… et prison

Mostafa, repris de justice alias «Al Gaouri», a été condamné par la Cour d’appel d’El Jadida à six ans de réclusion criminelle pour viol. Son complice Abderahman, a écopé de quatre ans de prison ferme. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d’appel d’El Jadida. D'allure sportive, « Al Gaouri » comparait, en état d’arrestation, devant la cour. Son complice se tient à ses côtés.

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Un meurtrier démasqué quatre ans après

Mohamed, la trentaine, trafiquant de drogue a tué un dealer à Casablanca. Arrêté quatre ans plus tard à Inezgane, il a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle. Il y a quatre ans, Mohamed est venu s’installer à Inezgane. Ses voisins ne savaient pas d’où il est venu au juste. En remarquant son accent «bidaoui», quelques voisins le qualifiaient de Casablancais. Quand l'un d'eux l'appelle «le Bidaoui», il se contentait de lui lancer un sourire.

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Nora cinq ans, violée et assassinée

Kelaât Sraghna. Nora, une petite fille de cinq ans, a été atrocement violée par son agresseur à maintes reprises durant trente-quatre heures et étouffée mortellement par un oreiller. Jnane Bekkar est le plus grand quartier populaire à Kelâat Sraghna. L'usage de l'alcool, du haschich et des comprimés psychotropes y est très répandu. C'est dans ce quartier où, pauvreté et amour cohabitent, se sont rencontrés les parents de Nora. Sa mère est une femme de foyer alors que son père, ne disposant ni d’un niveau scolaire ni d’une profession stable, se débrouillait comme il peut pour subvenir aux besoins de la petite famille.

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Alcool, drogue, sexe… et meurtre

Sous l'effet de la drogue et de l'alcool, Abdellatif, mécanicien de son état, a étouffé une fille de joie qui a refusé de coucher avec lui. Il a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Exiguë, la salle d’audience est archicomble au point que plusieurs personnes sont restées à l'extérieur. Quelques affaires ont été ajournées par le président de la Cour avant d’ouvrir le dossier d’Abdellatif. Ce jeune homme, la trentaine, en pantalon bleu-jean et portant un tricot en laine blanc, s’est tenu debout au banc des accusés quand il a entendu son nom. Sur ordre du président, il avance vers le box. Son avocat, constitué dans le cadre de l’assistance judiciaire, s’est tenu à côté de lui, le dossier à la main.

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L’argent et le haschich qui tuent l’amitié

Pour le délester de son argent, deux individus ont ligoté et abusé sexuellement de leur ami, un trafiquant de drogue quinquagénaire, avant de le tuer sous le regard de trois prostituées. L’absence de Mohamed de son quartier à Tétouan ne pouvait pas passer inaperçue. Cet ami de tout le monde avait une relation particulière avec ses voisins. Tout le monde l’appréciait, l’aimait et n’imaginait jamais le quartier sans lui. Une bonne réputation dont il a joui suite à ses bons comportements, à sa générosité, à son soutien à tout le monde, à son humour… Seulement, il y a deux jours qu’il n’a pas mis les pieds hors de chez lui. A-t-il voyagé ? Non. Car, de coutume, il mettait ses voisins au courant de son voyage. Surtout depuis qu’il vit seul. Est-il encore célibataire ? Non. Il s’est marié à deux reprises.

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Des narcotrafiquants arrêtés à Mohammédia

Deux frères, leurs deux cousins et le propriétaire d’une société de transport international ont été traduits dernièrement devant la justice à Mohammédia après avoir été impliqués dans une affaire d’exportation de haschich vers Paris. La scène se déroule vendredi 2 mars, vers 2 heures, à Mohammédia. Une «Partner» de couleur grise et une Kia de couleur rouge circulent à tombeau ouvert. Une patrouille de police les remarque et commence à les poursuivre. Ils accélèrent alors en trombe, et c'est le début de la course-poursuite. Les deux voitures prennent alors tous les risques pour semer les policiers.

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Haschich : 50.000 hectares en moins

Les efforts du Maroc pour l'éradication de la culture de cannabis ont été salués par l'OICS dans son dernier rapport. L'organisme onusien se fait notamment l'écho des opérations menées dans la province de Larache. Entre 2004 et 2005, le Maroc a réussi de grandes réalisations en matière d'éradication des cultures de cannabis. Selon les chiffres dévoilés, mercredi à New York, par l'Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) à l'occasion de la présentation de son rapport pour 2006, le Royaume a réussi à réduire de l'ordre de 40% les superficies cultivées en cannabis et rien qu'en l'espace d'un an. L'OICS relève à ce propos qu'entre 2004 et 2005, ces superficies sont passées de 120.500 à 72.500 hectares. Une réduction encore plus significative, lors de la même période, a touché la production de résine de cannabis qui, selon le même rapport, a été ramenée à 1.066 tonnes.

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Après Jeblia, Zaâria sous les verrous

Arrêtée par la police de Bouznika, Fatima, alias Zaâria, est une trafiquante de drogue notoire. Elle sera déférée lundi 26 février devant la justice. Surnommée Zaâria, Fatima a choisi la même voie que la fameuse trafiquante de drogue Jeblia, mais pas les mêmes moyens de défense. Si cette dernière a fourni à la justice les noms de plusieurs policiers et gendarmes qui l’auraient protégée tout au long de ses pérégrinations dans le monde de la drogue, Zaâria n’en a avoué aucun.

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Séquestrée et violée pendant 15 jours

Personne n’a voulu croire à l’histoire de cette jeune fille de 18 ans : quinze jours de séquestration dans la maison d’un dealer qui la violait quotidiennement. Pas même ses parents, qui ont conclu que leur fille n’a eu que ce qu’elle méritait. Nous sommes en septembre 2005. Un homme se présente au 15ème arrondissement de police de Hay Hassani, à Casablanca. Il se présente comme étant officier de police mais surtout comme père de famille. Il demande au confrère qui le reçoit de lancer un avis de recherche pour sa fille, âgée de dix-huit ans, qui a disparu la veille. L’homme ne croit pas à une fugue. Il penche plutôt pour un enlèvement. Il a visiblement du mal à envisager que sa fille ait pu décider de quitter le foyer familial et malgré toute la charge dramatique de la seconde hypothèse, c’est celle-ci qu’il privilégie. Il sait pourtant, en sa qualité de policier, que toutes les hypothèses doivent être envisagées.

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interception de 4 véhicules transportant de la drogue

Les services de la douane au poste frontière du port de Tanger ont réussi à intercepter, le week-end dernier, quatre véhicules qui tentaient d'embarquer avec différentes quantités de drogue à bord, a-t-on appris auprès des autorités portuaires. A la suite des fouilles sélectives à la gare maritime, les douaniers ont réussi, samedi, à dénicher des caches contenant des quantités de drogue dans trois véhicules. Sur une voiture légère immatriculée en Espagne, les éléments de la douane ont découvert une quantité de 18 kg de haschich placée dans le réservoir. Dans la même journée, les douaniers qui opéraient conjointement avec les éléments de la police du port, ont pu extraire des plaquettes de chira d'une quantité totale de 10 kg sur deux véhicules légers.

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Saisie d’une tonne de haschich au port de Tanger

Les éléments de la douane au poste frontière du port de Tanger, ont réussi, dimanche en début de soirée, à intercepter un camion TIR qui s'apprêtait à embarquer vers Algésiras avec une quantité de 951 kg de haschich, a-t-on constaté sur place. Suspecté par les éléments de la douane, le camion immatriculé au Maroc et qui transportait un chargement de produits de confection, a été soumis au scanner. L'imagerie du scanner a permis de détecter une masse suspecte au niveau de la partie avant de la remorque.

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17 ans, drogué et faux monnayeur !

Enfant gâté, il abandonne ses études pour s’adonner à la drogue. Ses parents ayant fini par lui couper les vivres, il se lance dans la production de fausse monnaie. Appelons-le Younès. Il a dix-sept ans et comparait devant la Cour d’appel de Casablanca. «Tu es accusé de falsification de billets de banque ayant cours légal au Maroc et de leur mise en circulation», lui déclare le président de la chambre criminelle. Younès risque la réclusion criminelle à perpétuité. À côté de lui se tiennent deux jeunes filles, également mineures. «Vous êtes poursuivies pour mise en circulation de faux billets de banque», leur adresse le président. L’affaire est extrêmement grave. Comment Younès en est-il arrivé là ?

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Grosse prise de haschich à Tanger grâce au scanner

Les éléments de la Douane au poste -frontière du port de Tanger ont intercepté, dimanche, une remorque transportant 1.400 kg de haschich parmi une cargaison de confection. Une enquête est aujourd'hui ouverte afin de connaître la société de textile où les quantités de haschich ont été chargées et éventuellement l'implication ou non de ses responsables. Mais à l'heure où nous mettions sous presse, rien n'avait encore filtré sur l'identité des trafiquants ni sur les commanditaires de l'opération dans l'Hexagone.

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