Braquage

La PJ de Casa-Anfa a démantelé une bande spécialisée dans les vols avec violence sous la menace d’armes blanches en arrêtant trois membres. Les autres sont activement recherchés.

La somme de 1,33 million de dhs, dérobée lors du braquage d'une banque à Casablanca a été récupérée, mercredi soir, chez un individu qui s'était emparé du sac d'argent abandonné par les braqueurs, apprend-on de source policière. Le mis en cause, cordonnier de son état, a été arrêté à son domicile à Hay Mohammadi, par les éléments de la police judiciaire de Ain Sebaa-Hay Mohammadi en possession du sac d'argent, a ajouté la même source, précisant que l'individu en question n'a aucun lien avec le hold-up.

La presse belge a révélé, hier que d’autres personnes dans l’entourage de Abdelkader Belliraj travaillaient pour les services secrets belges. La classe politique de ce pays commence à demander la tête du patron de la sécurité d’Etat, Alain Winants.

Le chef du réseau terroriste récemment démantelé au Maroc s’est avéré être un agent rémunéré des services de renseignement belges. L’information a été révélé par la presse belge. Abdelkader Belliraj, mis en détention depuis jeudi dernier dans la prison civile de Salé, était «un indicateur officiel rémunéré de la Sûreté belge». La révélation, pour le moins troublante, a fait l’effet boule-de-neige, dans l’édition week-end de la presse belge.

Les 35 personnes arrêtées dans le cadre du démantèlement du réseau terroriste Belliraj seront déférées, aujourd’hui, devant le procureur alors qu’en Belgique, l’enquête vient de démarrer. La police belge a effectué, hier mardi, une perquisition au domicile d’Abdelkader Belliraj situé à Evergem. La presse belge rapporte que la perquisition a été effectuée mardi après-midi, dans la maison où il habitait, avec l’autorisation de sa femme. La presse belge rapporte aussi que «Abderrahim Lahlali, qui représente l’épouse du suspect, a confirmé l’information» et a indiqué que l’épouse de Belliraj aurait déclaré aux enquêteurs «qu’elle pense que son mari est victime d’une erreur judiciaire au Maroc». Selon les mêmes sources, «les enquêteurs ont notamment fouillé le jardin à l’aide de détecteurs de métaux. Ils s’intéressaient aussi à des notes et du matériel informatique».

L’enquête tend à prouver qu'il s'agit d'un mouvement en continuité avec la Chabiba Islamiya et en filiation direct avec «Al Ikhtiar Al Islami». Révélations. La conférence de presse du ministre de l’Intérieur a révélé quelques données sur la réalité de la cellule terroriste démantelée, en particulier sur les affinités idéologiques de ses membres. Le ministre a cité cinq groupuscules marocains dont « les Moujahidine marocains » créé par Nouâmani en 1984. Il a aussi cité des contacts avec le terrorisme international et Hizbollah. Il n’en fallut pas plus pour que le fantasme sur le chiisme supposé et la filiation à Al Qaïda fassent la Une. En fait, tous les contacts ont été « utilitaires ».

Le Premier ministre Abbas El Fassi a décrété, hier, la dissolution du parti islamiste «Al Badil Al Hadari», en raison de l’implication «avérée» de ses dirigeants arrêtés dans l’affaire du réseau terroriste Belliraj. En même temps, les services de sécurité ont saisi d’importants lots d’armes et de munitions à Casablanca et Nador. De nouveaux rebondissements dans l’affaire du démantèlement du réseau terroriste d’Abdelkader Belliraj, qui s’est soldé, mardi dernier, par une nouvelle vague d’arrestations parmi ses membres.

Suite au démantèlement du réseau terroriste Belliraj, des perquisitions ont été effectuées dans les domiciles et locaux où résidaient ou travaillaient les personnes arrêtées, permettant la découverte, notamment à Casablanca et Nador, d'importants lots d'armes et de munitions, d'artifices pyrotechniques, ainsi que des articles qui devaient servir à garantir l'anonymat des auteurs des crimes planifiés, selon un communiqué de l'Intérieur. Il s'agit d'un arsenal d'armes et de munitions réparties comme suit : - 9 fusils kalachnikovs munis de leurs chargeurs. - 2 fusils-mitrailleurs de marque UZI dotés de 6 chargeurs et d'un silencieux. -7 pistolets mitrailleurs de marque SKORPIO, dotés de 10 chargeurs. - 16 pistolets automatiques (de différentes marques et calibres), dotés de 19 chargeurs et de 5 silencieux. - Un lot de munitions de différents calibres. - Des mèches et détonateurs. - Des aérosols paralysant et cagoules.

La Cour suprême a décidé mercredi de mettre en délibéré le dossier relatif à la nationalité de Lee Ibrahim Murray, un Marocain né en Grande-Bretagne, soupçonné par Londres d'être le cerveau d'une grande opération de braquage en Angleterre, a indiqué l'avocat du mis en cause, Me Abdellah Belmhidi Aïssaoui. La Cour devra également se prononcer sur la demande d'extradition du prévenu formulée par le Royaume-Uni. La défense soutient que Lee Ibrahim Murray, 30 ans, est de nationalité marocaine, ce qui devra lui éviter, dans un tel cas, d'être extradé. La haute juridiction avait validé, le 2 mai dernier, une demande d'extradition au Royaume-Uni d'un ressortissant britannique, Paul Allan, mis en cause dans le même hold-up durant lequel une somme de 53 millions de Livres sterling a été volée.

Les services de sécurité ont interrogé 59 suspects depuis les explosions terroristes du 11 mars dernier à Casablanca, dont dix ont été relaxés pour non implication dans ces actes et 31 ont été déférés devant la justice, alors que 18 autres individus sont toujours interrogés et deux sont activement recherchés, a indiqué mardi le ministre de l'Intérieur, M. Chakib Benmoussa. Dans un exposé devant la Chambre des conseillers, M. Benmoussa a précisé que les investigations ont abouti à la conclusion que les auteurs des opérations terroristes du 11 mars et 10 avril appartenaient à une seule cellule, constituée d'éléments de la Cellule d'Abdelmalek Bouzgarne et de Youssef Addad (en prison depuis 2004), qui dépendait du Groupe Assirat Al-Moustaqim. A la suite d'un différend en raison, essentiellement, de l'absence de consensus autour de l'organisation et du timing de l'exécution des opérations, la cellule s'est scindée en deux groupes, dont la première a pris l'appellation de Abdelfettah Raïdi, composéd principalement d'éléments de la Salafia jihadia, tous pressés de passer aux actes terroristes. C'est ce groupe qui est à l'origine des évènements du 11 mars dernier. Le deuxième groupe a quant à lui été derrière les évènements du 10 avril courant.

Le Maroc mène une guerre sans merci contre les extrêmistes. De source policière, l'on apprend que les services de sécurité viennent de procéder à l'arrestation de 13 personnes se réclamant d'un parti, non autorisé, dénommé Parti de libération islamique marocain. La même source ajoute que les arrestations, qui se sont déroulées sous la supervision du parquet général, ont eu lieu dans les villes de Casablanca, Tétouan et Meknès.

Deux malfaiteurs spécialisés dans le braquage de chauffeurs de petits taxis à Agadir ont été arrêtés dimanche dernier par les services de sécurité de la ville, a-t-on appris mercredi de source policière. Les deux suspects H.A. (21 ans) et F. I. (24 ans), qui opéraient dans le centre-ville (circuit Founty et Hay El Wifaq), demandaient aux chauffeurs de taxis de les déposer à un endroit précis et, au milieu du trajet et sous la menace d'armes balnches, les délester de leurs biens.

Des éléments de la sécurité ont réussi à démanteler une cellule terroriste baptisée Jammaa Ansar Al Mehdi qui projetait de proclamer le Jihad au Maroc, indique un communiqué du procureur général du Roi près la cour d'appel de Rabat. Ce groupe a été constitué par le dénommé Hassan El Khattab qui, après avoir purgé une peine de deux ans d'emprisonnement, a fait appel a un groupe d'individus répartis sur plusieurs cellules à Salé, Sidi Yahya Gharb, Sidi Slimane, Youssoufia et Casablanca, précise la même source.

La chasse aux individus suspectés d'intentions réelles de perpétrer des actes terroristes dans le pays continue sans relâche. Dernier événement en date, les services de sécurité viennent de démanteler un important réseau terroriste et se sont emparés d'un important stock d'explosifs qui devait servir à une série d'actes terroristes dans le Royaume, ainsi que du matériel de propagande et un équipement de laboratoire.

Une bande spécialisée dans le braquage des véhicules de transport de fonds a été démantelée par le service de police judiciaire de Settat en collaboration avec les services de la Gendarmerie Royale. Agissant sur indication faisant état de la présence d'éléments de la bande à bord d'un grand taxi allant de Marrakech à Casablanca, les services de sécurité ont intercepté le véhicule en question près du poste de péage de l'autoroute, à proximité de Settat.

Jugée pour le braquage d'une agence bancaire en 1980, Hélène Castel a exprimé ses regrets mercredi devant la cour d'assises de Paris. Ses proches ont eux insisté sur la difficulté de juger l'accusée 25 ans après les faits.

Un ressortissant marocain âgé de 40 ans a été tué par balles, vendredi à Abidjan, par deux malfrats armés de pistolets qui ont braqué le magasin d'électroménagers appartenant à sa soeur et qu'il gérait depuis son installation en Côte d'Ivoire il y a à peine deux mois. Deux bandits sont entrés dans son magasin situé à quelque 200 mètres du 5e arrondissement de police de la commune de Port Bouet (aux environs de l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny) et ont intimé Namir Abdelkader de se mettre à plat ventre.

L’affaire du vol présumé de 40 millions de numéros de cartes bancaires chez CardSystems fait grand bruit dans la presse et dans le monde de la sécurité des systèmes d’information. Retour sur un « cyber-casse » hors du commun et complément d’informations…

Qui n'a pas rêvé de piloter l'un de ces monstres de Formule 1 ? A défaut de prendre la place de Fernando Alonso ou de Giancarlo Fisichella, Renault nous propose de suivre de l'intérieur et en direct, via Internet, les courses de F1.