adultère

Un mois de prison ferme, assorti d'une amende de 1000 DH, pour le chanteur vedette d'Al Adl Wal Ihssane, Rachid Ghoulam, et la femme avec laquelle il a été surpris en flagrant délit d'adultère. Le dénommé Rachid Ghoulam, qui a été interpellé le 25 mars en flagrant délit d'adultère à El Jadida, vient d'écoper d'un mois de prison ferme, ainsi que d'une amende de 1000 DH, avec sa complice qui répond au nom d'Asmaâ Rkik. Le verdict, rendu dans la nuit de vendredi à samedi par le tribunal de première instance d'El Jadida, vient confirmer l'accusation portée contre le prévenu, surnommé le «rossignol» de l'association islamiste «Al Adl Wal Ihssane», soit l'incitation à la débauche. Sa complice, elle, était poursuivie pour incitation à la débauche et participation.

Un Fkih de la ville de Khémisset a profité de la crédulité d’une femme malade pour la violer. Son épouse n’ayant pas voulu le poursuivre pour adultère, il a été traduit devant la Cour d’appel de Rabat pour répondre des seuls crimes de viol et d’escroquerie. De quelle mal souffre-t-elle ? Fatima l’ignore. Aucun des nombreux médecins qui l’ont auscultée n’est arrivé à déterminer avec exactitude la nature de sa maladie. A cause de ses intenables maux de tête et de ses cauchemars ineffables, elle n’arrivait toujours pas à trouver le sommeil. Malgré les nombreuses médications qui lui ont été prescrites, son état de santé ne cessait de se détériorer au fil des jours …Y avait-il une solution autre que celles proposées par la médecine conventionnelle? «Oui…», lui a lancé une patiente qu’elle a croisé dans un cabinet d’un praticien de la place.

Un imam adultère a été déféré devant le tribunal à Taroudant. Jugé coupable d’atteinte à un lieu de culte, il a été condamné à huit mois de prison ferme. Quant à sa maîtresse, elle a écopé de cinq mois.

Il est établi que les histoires d'adultère finissent mal, dans la majorité des cas. Très mal même parfois. Lorsque ça vire au vinaigre, au meilleur des cas, cela aboutit à une séparation, une famille qui vole en éclats, des enfants à l'avenir lourdement compromis… bref, une déchirure aux répercussions multiples. On parlait bien entendu du meilleur des cas.

Après qu’elle l’ait délesté de tout, la femme d’Abdelkader l’a abandonné pour aller batifoler avec un autre. Surprise en plein adultère, elle a été déférée devant la justice. Dès l’abord d’Abdelkader, on sent en lui une nature généreuse et un caractère pacifique. Marié en janvier 2003, il vivait au début de sa liaison conjugale une idylle avec Souâd, l’élue de son cœur depuis toujours. Cette dernière était également sa cousine maternelle. Elle était proche de lui. Non seulement elle rendait souvent visite à sa tante qu’elle aimait follement, mais elle fuyait aussi sa mère cruelle et cupide qui ne prenait soin ni d’elle ni de ses sœurs et frères. «Si Souâd a une bonne réputation, sa mère est très grossière, mon fils», lui dit un jour son père en guise d’avertissement.

Ne supportant plus l'infidélité de son mari, une mère de famille a tué la maîtresse de celui-ci en l’aspergeant d’acide chlorhydrique. Par cet acte criminel, la prévenue voulait protéger son foyer. L’amour n’est plus qu’un souvenir pour Saâdia. Cette jeune femme, d’une trentaine d’années, se rappelle de sa première rencontre avec son mari, Al Maâti. Elle remonte à une dizaine d’années, quand il l’a croisée dans une ruelle de la ville de Fès. Il l'a abordée et lui a dit des mots mielleux. Elle a la nostalgie de ces bons moments qu’elle a passés en sa compagnie. Les deux tourtereaux passaient leurs journées à flâner dans les jardins et s’attablaient dans les cafés de la ville. Al Maâti déployait tous ses efforts pour la rendre très heureuse. Bien que son emploi ne rapporte pas gros, il économisait pour pouvoir lui acheter tout ce dont elle avait besoin.

Mohamed, plombier de son état, qui a reconnu avoir eu des relations sexuelles avec la femme de Miloud, réclame la paternité de la petite Yousra. Un regard, un sourire, puis le coup de foudre. C’est ce qui semble être passé la première fois, il y a trois ans, entre Miloud, chauffeur de taxi, et Ghizlane. Ils étaient âgés respectivement de 31 et 21 ans. Un écart d’âge de dix ans qui semble avoir rapproché les deux cœurs. Ni l’un ni l’autre n’a su ce qui a suscité son admiration. Ils étaient follement amoureux. Ils ont décidé alors de se marier le plus tôt possible. Les deux tourtereaux se sont retrouvés sous le même toit d’une maison à Tamaris.

De plus en plus de couples vivent en concubinage, alors que le nombre de célibataires explose. Cependant, ils le font à leurs risques et périls dans la mesure où une simple dénonciation peut faire débarquer la police chez eux. Mais c’est pour certains un vrai choix de vie. MAJDOULINE E. et Sanaa S., travaillant tous deux dans la communication, ont vécu ensemble pendant deux ans avant de se marier. Lui est de Rabat, elle de Marrakech. Ils se sont rencontrés dans le cadre de leur travail et ce fût le coup de foudre.

A Oujda, Bouchaïb, un homme marié et père d'une petite fille, a tué à coups de couteau sa femme qu'il soupçonnait d'adultère sans raison valable. La mère, âgée de 45 ans, a été assassinée sous les yeux de sa petite fille. A Oujda, une petite fille perd ses deux parents, la mère étant morte et le père risquant la prison, à cause de soupçons d'adultère apparemment non fondés. À son quarante-cinquième printemps, l'épouse de Bouchaïb, dotée d'une beauté éclatante, ne passe pas inaperçue.

Un homme, âgé de 63 ans, est décédé sur le lit de sa maîtresse, l'épouse de son ami. La femme adultère, 46 ans, mère de deux enfants, est gardée en détention préventive. Les éléments de la deuxième brigade criminelle de la PJ de Meknès assurent la permanence, ce jour du mois de mars. Le téléphone sonne. Le chef de la brigade remarque que sa montre indiquait minuit.

Omar et Badiâa viennent d'être condamnés à deux ans de prison ferme pour adultère et complicité. L'homme a couché avec sa belle sœur.

Comme il est habitué à quitter, tôt le matin, sa maison pour aller travailler, Ahmed n’en fait pas exception le 21 octobre 2005. A peine met-il les pieds dehors qu’il découvre une personne gisant à côté de la porte.

Habiba vient de mettre au monde un nouveau bébé. Ses traits sont très différents de ceux de son père et de ses frères. A cause de ces détails physionomiques, son mari l’accuse d’infidélité et la tue

Je considère que le désir du rapport sexuel s’abat sur l’homme pour qu’il atteigne son plaisir et le jauge à l’aune du plaisir, infiniment plus grand, que peut lui procurer l’au-delà. Parce que si le plaisir sexuel devait durer indéfiniment, il serait le plus ardent des plaisirs corporels, comme le feu est le paroxysme des douleurs corporelles.