Un bémol à la consommation du lait

Toutefois, les chercheurs ne recommandent pas pour l’instant de réduire l’absorption de produits laitiers.

La chercheuse responsable de l’étude, l’épidemiologiste Susanna Larsson, soutient que d’autres recherches doivent être menées sur les liens entre l’absorption de lait et le comportement génétique de l’humain.

Un risque à prendre

La Dre Lucy Gilbert, du département d’oncologie du Centre universitaire de santé McGill, à Montréal, pense que cette hausse de risque est faible par rapport aux bienfaits qu’apporte la consommation régulière de produits laitiers, notamment les apports en vitamine D et en calcium.

Des données concernant 4000 femmes ont été colligées pour cette étude.

La recherche est publiée dans le Journal international du cancer.

source: radio-canada.ca

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