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Mois des excès, le Ramadan l'est à plusieurs égards. Si la gloutonnerie se taille la part du lion dans l'excessif, aux côtés de la flânerie et du fonctionnement à très bas régime, d'autres volets enregistrent une recrudescence particulière. Crimes et délits, notamment, coulent des jours heureux en ce mois de piété et de pardon. Si le nombre des fidèles augmente de façon spectaculaire, à voir les Marocains, tapis de prière sous le bras, se diriger massivement vers les lieux de culte, les délinquants, également, font parler d'eux en ce mois sacré. Etrange contradiction, mais bon…

Avec l'arrivée de Ramadan, les petits métiers fleurissent un peu partout dans les quartiers populaires. Les jeunes, généralement des chômeurs, ou encore les mères de famille, habituellement des femmes aux foyers, profitent de l'occasion pour se faire un peu d'argent durant ce mois sacré. Parmi ces petits emplois, on trouve d'abord, le neffar. Ce métier n'est pas en voie de disparition, comme le pensent certains.

• Pour permettre à l'OCK de préparer son match de Coupe arabe à Djeddah contre l'Ittihad, lundi 2 octobre, le match retard du championnat national qui doit l'opposer au Difaâ Hassani Jadidi a été avancé à samedi à Khouribga (14h00) • La valse des entraîneurs démarre. C'est à Safi que le processus demarre, avec le départ d'Aziz El Amri. Laissé vacant, le poste est très demandé par des techniciens en quête d'une place sur le banc de touche. Pour l'instant, ils sont trois postulants, M'hamed Nejmi (Ex-Raja, SCCM), Mohamed Madih (ex-entraîneur de l'OCS) et Aziz Bennij (ex-joueur du WAC) qui revient de Nancy avec de bonnes références.