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Le verdict dans l’affaire des conseillers sera prononcé le 22 janviers

La Cour d'Appel de Safi a fixé le 22 janvier courant comme date pour le prononcé du verdict dans l'affaire relative aux élections pour le renouvellement du tiers des membres de la chambre des conseillers, dans la région de Doukkala-Abda. La Cour d'Appel de Safi a fixé le 22 janvier courant comme date pour le prononcé du verdict dans l'affaire relative aux élections pour le renouvellement du tiers des membres de la chambre des conseillers, dans la région de Doukkala-Abda. La Cour d'Appel a fixé cette date au terme d'une audience tenue lundi et consacrée au suivi des plaidoiries des avocats de la défense et des trois accusés qui y ont assisté. Le principal accusé dans cette affaire, M. Omar Mohib, du Rassemblement national des indépendants (RNI) n'a pas assisté à cette séance. Son avocat a présenté à la Cour un certificat médical pour justifier son absence et demander un report de l'audience. Cette requête a été rejetée par la Cour, considérant que le dossier est prêt.

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Des scénarios catastrophe venus d’ailleurs

Certains ouvrages étrangers consacrés au Maroc en donnent une image erronée et tendancieuse. Suite à de bref séjours dans notre pays, et en ne recueillant que les interviews des opposants notables, les auteurs se livrent à une critique systématique de la situation actuelle, en ne relevant que « le verre à moitié vide » et en occultant totalement « le verre à moitié plein ». Le dernier en date « Quand le Maroc sera islamiste » introduit deux scénarios possibles : « une révolution de palais » issue d’une alliance entre les militaires et les technocrates, ou « l’arrivée en force des islamistes au pouvoir ». Ces scénarios catastrophe sont étayés par des affirmations ou des citations négatives. On peut relever entre autre « la situation est dangereuse : le Maroc, c’est la Russie en 1916 » ou encore « le Royaume : maillon faible de l’arc euro-méditerranéen ». Sur le plan économique on lit : « Le Maroc a raté le coche de la mondialisation, et ne présente plus aucun avantage comparatif » et plus loin « le Maroc a largement bradé ses bijoux de famille ».

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