Derières actualités

Des détenus salafistes redécouvrent l’amour

Des prisonniers salafistes ont entamé des grèves de la faim pour amener le ministère de la Justice à leur permettre de se marier. Incarcérés à Casablanca, ils affirment craindre pour leur stabilité si la situation perdure. Pour la première fois dans les annales des prisons marocaines, des détenus salafistes, condamnés dans le cadre des procès post-16 mai 2003, ont recouru à la grève de la faim pour «défendre leur droit au mariage». Issam Chouider, Kamal Chetbi, Abdelhakim El Ghali, Mohamed Aâtour et Rédouane Alami ont observé, pour la deuxième fois, une grève de la faim les 12 et 13 février en protestation, affirment-ils dans un communiqué, contre le Parquet de Casablanca. Ce dernier, à les en croire, tarde à répondre à leurs demandes de permission de mariage en prison présentées aux autorités judiciaires depuis plus de huit mois. Soutenus par leurs co-prisonniers parmi les salafistes, les cinq détenus affirment qu'ils pourraient recourir à d'autres formes, plus radicales, de protestation. L'une des issues envisagées est une grève illimitée de la faim.

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Le code de la circulation routière devant le Parlement

Des membres de la Commission de l'Intérieur, de la Décentralisation et des Infrastructures à la Chambre des Représentants ont souligné, mardi à Rabat, que le projet de loi portant Code de la circulation routière est un pas qualitatif en matière de lutte contre les accidents de la circulation, exprimant, par la même, leur inquiétude vis-à-vis des pratiques et comportements qui pourraient entraver l'application de ce Code. Lors d'une réunion dédiée à l'examen de ce projet, tenue en présence du ministre de l'Equipement et du Transport, M. Karim Ghellab, les membres de la commission ont mis en relief l'importance des dispositions de ce code qui permettront de réduire les dégâts humains et matériels causés par les accidents de la circulation.

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La faible secousse ressentie exclut l’hypothèse d’un tsunami

L'Institut National de Géophysique (ING) a affirmé que la secousse tellurique, qui a été ressentie, lundi matin, sur le littoral marocain, a été d'une faible magnitude, ce qui exclut l'hypothèse d'un tsunami. L'Institut National de Géophysique (ING) a affirmé que la secousse tellurique, qui a été ressentie, lundi matin, sur le littoral marocain, a été d'une faible magnitude, ce qui exclut l'hypothèse d'un tsunami.

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