Derières actualités

S.M. Mohammed VI lance le programme de requalification du quartier Zafati

• Le Souverain remet les clés aux bénéficiaires du plan de relogement des habitants du bidonville situé dans ce quartier dans le cadre de l'opération «Arrachad». • La requalification du quartier Zafati mobilise une enveloppe de 32,2 millions de DH, elle préservera l'équilibre urbanistique. Sa Majesté le Roi Mohammed VI s'est enquis, jeudi à Rabat, du programme de requalification du quartier Zafati, sur l'avenue Imam Malik, pour un coût de 32,2 millions de dirhams, et a remis les clés aux bénéficiaires du programme de relogement des habitants du bidonville situé dans ce quartier dans le cadre de l'opération Arrachad à Hay Annahda.

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Terrorisme : Une cellule d’Al-Qaïda neutralisée

Quelques jours avant la réunion des responsables des services sécuritaires à Kénitra, dimanche dernier, les autorités ont réussi à démanteler une dangereuse structure terroriste de plusieurs dizaines de membres. Le récent démantèlement de la cellule terroriste a été au centre des travaux du Conseil de gouvernement, tenu jeudi 15 février. Le ministre de l'Intérieur, Chakib Benmoussa, y a affirmé que le Maroc était prêt à parer à toute tentative d'atteinte à la sécurité et à la stabilité du pays, des citoyens et de leurs biens. Chakib Benmoussa a affirmé que l'ensemble des mesures et dispositions décidées par le ministère de l'Intérieur et les services de sécurité visent à «élever le niveau de sensibilisation de l'opinion publique nationale quant à ces dangers et de mobilisation pour la protection de notre pays».

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Il viole l’enfant de ses employeurs

Mohamed a été recruté comme berger chez une famille aisée de la province de Settat. Ingrat, il a abusé de l’enfant de ses employeurs. Un acte criminel qui lui a coûté cinq ans de réclusion criminelle. «Non, M. le président, je ne l’avais pas obligé, il voulait le faire de son plein gré», clame Mohamed sur un ton hésitant devant le président de la chambre criminelle près la Cour d'appel de Settat. Durant les deux heures de l'examen de son dossier, il n’a pas osé lever le regard sur ses parents, ses frères et sœurs qui assistaient au procès. Les yeux baissés, il était comme pétrifié. Est-ce par pudeur? Est-ce le remord ? Il fut toutefois obligé de regarder le représentant du ministère public quand ce dernier a entamé son réquisitoire.

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