Infos du Maroc

Avec mobisud, Maroc Telecom a lancé une offre de téléphonie mobile « sur mesure » et à des tarifs compétitifs pour rendre les communications plus accessibles et faciles à nos compatriotes résidents en France ou en Belgique et ayant des liens affectifs, familiaux, professionnels, culturels ou économiques avec le Maroc. Il leur permet ainsi de se rapprocher de leurs familles et de leurs amis, qu’ils se trouvent en France, en Belgique ou au Maroc. A l’occasion de leur arrivée pour les vacances au Maroc, Maroc Telecom s’apprête à lancer une campagne promotion sur les offres de téléphonie mobisud. Des kits mobisud promotionnels « Packs duo » à partir de 349 Dh, comportant un poste GSM, une carte mobisud Maroc et une carte mobisud France ou une carte mobisud Belgique sont mis à la disposition des MRE à travers tout le réseau Maroc Telecom, pour un usage au Maroc, en France ou en Belgique.

Cette année encore, à Tanger et sur les plages avoisinantes, Maroc Telecom va renouveler sa participation active à l’opération « Plages Propres » menée par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement. L’un des objectifs poursuivis par la Fondation est de hisser sur les plages du Maroc le « Pavillon bleu », label européen décerné par la Fondation pour l’Education à l’Environnement en Europe, attestant de la qualité de l’eau de baignade, de la propreté, de l’aménagement et de la gestion du site, de la sécurité et de l’information des visiteurs. Grâce à son implication assidue, Maroc Telecom a contribué, par ses efforts d’aménagement, à ce que la plage Achakar de Tanger reçoive en 2006 ce prestigieux label.

La police espagnole a démantelé un groupe de trafic d'êtres humains qui exploitait des immigrés marocains dans le secteur de la construction, a annoncé, mercredi, le ministère espagnol de l'Intérieur. Les deux premiers responsables de ce réseau, des espagnols d'origine marocaine, ont été arrêtés dans une localité au sud de Madrid pour avoir introduit illégalement en Espagne et exploité des immigrés marocains. Selon un communiqué du ministère, les membres du réseau recrutaient ces travailleurs au Maroc et leur font contracter des dettes de 6.000 Euros chacun qu'ils devront payer en travaillant sur des chantiers de construction. Outre les deux responsables du groupe, la police a également arrêté un troisième marocain membre du réseau et quatre autres personnes en situation irrégulière.