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La rentrée scolaire 2007/2008 est prévue pour le 13 septembre courant dans tous les établissements scolaires, après la célébration de la fête de l'école le 12 septembre, a indiqué un communiqué du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur, de la Formation des cadres et de la Recherche scientifique. La période qui s'étend jusqu'au 11 septembre sera consacrée à l'inscription et réinscription des élèves qui n'ont pas pu le faire en juillet dernier, précise la même source, ajoutant que les académies régionales et provinciales se chargeront de désigner les coordonnateurs régionaux spécialisés et d'organiser des réunions avec l'inspection de l'enseignement et l'administration de la pédagogie pour décider des programmes et des plans d'action scolaires 2007-2008. La rentrée scolaire de cette année sera marquée par la publication de nouveaux livres de la 2-ème année du baccalauréat, l'intégration de la langue amazighe en 5-ème année de l'enseignement primaire et la préparation de nouveaux programmes de l'enseignement secondaire, souligne le communiqué.

Toutes les dispositions ont été prises aux plans législatif et réglementaire pour garantir la transparence et la crédibilité des élections législatives, dont la préparation a duré plusieurs mois, conformément aux Hautes directives de SM le Roi Mohammed VI. Le Souverain a, à maintes occasions, insisté pour que ces élections soient une nouvelle étape pour la consécration du processus de démocratisation et de l'Etat de droit, appelant toutes les parties à uvrer afin que cette consultation soit honnête et régulière et s'inscrive dans la normalité. A cet effet, le Conseil du gouvernement, réuni le 22 août dernier, a réitéré la nécessité pour l'administration d'adopter une neutralité engagée dans le respect de la loi tout au long des différentes étapes de l'opération électorale, comme l'a affirmé le Premier ministre, M. Driss Jettou.

L'opération de vote pour l'élection des 325 membres de la Chambre des représentants a débuté, vendredi à 08H00, dans les différents bureaux à travers le Royaume. Ces élections législatives, les deuxièmes depuis l'intronisation de SM le Roi Mohammed VI, mettent en compétition 6.691 candidats répartis sur 1.870 listes locales et 26 listes nationales (réservées aux femmes). Les candidats en lice représentent 33 partis, 2 unions de formations et 13 listes des sans appartenance politique (SAP), qui se disputeront 295 sièges à pourvoir au niveau de 95 circonscriptions, alors que les 26 listes nationales sont en lice pour les 30 sièges réservés aux femmes.