Derières actualités

Un agent de police victime d’une agression à Casablanca

Un agent de police du District Aïn Chok-Hay Hassani a été agressé, dimanche, par cinq membres d'une même famille, alors qu'il était en exercice de ses fonctions, a-t-on appris lundi de source policière. L'agression a eu lieu au moment où le policier, accompagné d'un collègue, arrêtaient un vélomotoriste, dans le cadre des efforts déployés pour la lutte contre le phénomène de vol à l'arrachée, précise-t-on. Au moment où les deux agents de police procédaient aux vérifications d'usage, ils furent pris à partie par un individu qui, sans motif valable, contestait leur action et leur reprochait le fait d'avoir arrêté le vélomotoriste, souligne la même source.

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Le Polisario fait un pas en avant en direction de l’initiative marocaine

Le responsable des affaires extérieures de la pseudo-RASD, Mohamed Salem Ould Salek, a effectué, vendredi 14 septembre, une visite en Espagne où il a appelé à la reprise des négociations avec le Maroc, appelant Madrid à soutenir un référendum d'autodétermination qui inclut l'option de l'autonomie. Fini les menaces de «retour aux armes». Place au dialogue. Le Polisario semble convaincu de l'importance des négociations avec le Maroc pour trouver une solution au conflit. C'est du moins ce qui ressort des récentes propositions faites par le responsable des affaires extérieures de la fantomatique RASD, Mohamed Salem Ould Salek, lors d'une rencontre, vendredi 14 septembre, à Madrid avec le chef de la diplomatie espagnole, Miguel Angel Moratinos.

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Ils préparaient leurs coups en prison

Deux jeunes hommes se sont rencontrés en prison. Et c’est là où ils ont planifié leurs coups pour devenir, après leur libération, un duo spécialisé dans le vol des vélomoteurs. Chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca. La salle d’audience est archicomble. À la barre se tiennent Samir et Rédouane. Tous deux sont poursuivis en état d’arrestation pour vol de vélomoteurs. Qui sont-ils ? Comment sont-ils devenus des repris de justice ? C’est en 1982 que Rédouane a vu le jour dans une famille indigente de Hay Mohammadi à Casablanca. Il quitte très tôt les bancs de l’école alors qu’il n’était qu’en primaire. Pas d’inscription à la formation professionnelle, ni d’apprentissage auprès d’un artisan. C’est dans la rue que Rédoaune se sentait le mieux.

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