Derières actualités

Soirée de déclamation et de psalmodie du Coran à Rabat

Le ministère des Habous et des Affaires islamiques a organisé, vendredi à Rabat, une soirée consacrée à la déclamation et à la psalmodie du Coran, qui marque le début des dix jours bénis du Ramadan, incluant Laylat Al Kadr, qui coïncide avec le début de la révélation du Coran. Cette soirée, présidée par le ministre des Habous et des Affaires islamiques, M. Ahmed Toufiq et d'autres personnalités, s'est ouverte sur des lectures de Coran et la projection de deux documentaires sur le prix Mohammed VI des écoles coraniques et sur le Moushaf Mohammadi (coran). La présence a, aussi, apprécié des exemples de récitation individuelle féminine du Coran et de lecture collective de versets coraniques par des enfants du Sénégal.

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Les quartiers clandestins envahissent de nouveau l’espace casablancais

Le phénomène des quartiers clandestins s'est propagé dans des proportions alarmantes durant ces trois derniers mois à Casablanca. Profitant de la période électorale, des spéculateurs avec la complicité de certains agents d'autorité ont bouleversé la physionomie de la mégalopole. Casablanca ne se découvre plus de visage humain. Pour une ville, ce n'est plus une ville. Les infractions sont légion : surélévations d'étages et couvertures de cours sans autorisation notamment dans la zone d'habitat économique ; accès à la terrasse sans autorisation dans la zone villa ; modifications de façades ; occupation du domaine public sans autorisation ou sur la base d'une décision taxée ; absence de plans autorisés sur chantiers ... En zone rurale, parler d'anarchie relèverait du pléonasme. La multiplication des quartiers clandestins à la périphérie casablancaise a franchi le seuil du tolérable. Le chaos est au tournant de chaque rue.

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Sa femme le trompe, il l’assassine

Aziza cherchait le bonheur en épousant Abdellah. Il lui a donné un enfant, mais pas la vie qu’elle souhaitait. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Fès. Abdellah, 39 ans, se tient au box des accusés pour répondre de l’accusation dont il fait l’objet : homicide volontaire sur la personne de son épouse, doublé de mutilation d’organe. Il ne nie pas son crime, mais tente de se justifier : «Elle me trompait !», répète-t-il devant la Cour sans exprimer le moindre regret. Que s’est-il passé, au juste ? L’affaire remonte à l’année 2001. Abdellah se présente à la famille de Aziza de la tribu Ouled Jamaâ, douar F’chatla, dans la région de Fès pour demander sa main. Aziza, 23 ans, accepte rapidement bien qu’Abdellah est au chômage.

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