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Effluves d’un jardin andalou à casablanca

L'exposition Le jardin andalou' aux atmosphères envoûtantes et à la végétation luxuriante fait escale à la Villa des Arts de Casablanca après un périple qui a concerné plusieurs villes marocaines et espagnoles. Jusqu'au 23 août, les Casablancais et les visiteurs de passage sont invités à voyager dans le temps pour redécouvrir les splendeurs du jardin andalou où la chorégraphie féerique des couleurs (fleurs) et des formes (arbres) est rythmée par le bruissement de l'eau dans une ambiance imprégnée par les senteurs des jasmins, roses et autres basilics.

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La commission d’enquête parlementaire s’engage à n’exclure aucun niveau de respo

La commission d’enquête parlementaire sur les incidents de Sidi Ifni, formée le 18 juin, procédera à l’audition à partir de samedi prochain de tous les responsables régionaux. Dernière ligne droite avant l’ouverture de l’enquête parlementaire sur les incidents de Sidi Ifni. Mardi dernier, la commission chargée de cette enquête a tenu une réunion à huis clos pour arrêter les règles de son fonctionnement. Le président de cette commission, le député istiqlalien Noureddine Moudian, a affirmé que son équipe attendue samedi prochain à Sidi Ifni procédera à la convocation sur place de toutes les parties responsables des incidents survenus le 7 juin dernier. Le premier responsable de cette commission, qui a été créée le 18 juin, a évoqué dans une déclaration à la MAP «des responsables régionaux et locaux», dont des élus et des opérateurs économiques et de la société civile, ajoutant que «toute (autre) personne en mesure d’éclairer la commission sur les incidents sera la bienvenue».

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Kidnappée et violée à tour de rôle

Quand elle est sortie de son travail, Meriem, 26 ans, célibataire, ne concevait pas que le pire l’attendait : un étudiant et un employé la kidnappent à bord d’une voiture pour la violer dans un lieu désert et l’abandonner à son propre sort. Nous sommes à la chambre criminelle près de la Cour d’appel de Casablanca. Mohamed et Farid qui se tenaient au box des accusés ont obligé Meriem, vingt-six ans, de revivre un véritable cauchemar. Dès qu’elle a été appelée par le président de la Cour, elle n’a pas cessé de sangloter. Elle n’a pas pu tenir ses larmes tout au long de la durée de l’examen de son dossier. À maintes reprises, le président de la Cour lui a demandé de se calmer. En vain. Il semble que tout le film de sa torture par le duo déferlait dans sa mémoire comme s’il a été produit juste la veille. Qu’est-ce qui lui est arrivé pour qu’elle soit dans cet état lamentable ?

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