Derières actualités

La journée nationale des mre

Le ministre délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur, a indiqué que la journée nationale de la communauté marocaine établie à l'étranger, célébrée le 10 août, est une occasion pour rendre hommage à cette communauté et sensibiliser les différentes administrations à la spécificité de ses problèmes. Intervenant lors d'un point de presse, mercredi à Rabat, M. Ameur a affirmé que la célébration de cette journée, placée cette année sous le thème l'administration électronique au service des Marocains du monde, offre l'occasion d'amorcer un dialogue avec les différents intervenants concernés par les affaires des Marocains Résidant à l'étranger (MRE).

Voir la suite »

Il tue son patron par vengeance

Pour se venger, un jeune homme de vingt-neuf ans a tué, à Casablanca, son patron, âgé de soixante-six ans et ce, avant de s’enfuir vers Beni Mellal. Il a été arrêté trois jours après son crime. Nous sommes à Casablanca. Plus précisément au quartier Al Oulfa. Dans une petite entreprise, les employés venaient de rentrer, ce matin du vendredi 25 juillet. Tout semblait être normal. Mais la réalité était tout autre. Au bureau du directeur, Abdelkebir, âgé de soixante-six ans, rien n’était normal. Pourquoi ? Quand la secrétaire du directeur a ouvert la porte de bureau pour y rentrer, elle a lancé un cri strident avant de sortir. Tous ses collègues l’ont rejointe rapidement. Ils ne savaient pas ce qui lui était arrivée. Elle n’avait plus la force pour leur dire le moindre mot. Tout d’un coup, elle a perdu connaissance. Personne n’a pensé rentrer au bureau pour savoir ce qui l’a poussé à perdre connaissance. D’abord, ils ne savaient pas si elle y était rentrée ou non. Ils l’ont aidée à reprendre connaissance. «Il a été tué… Il a été tué…», balbutiait-elle. Qui a tué qui ? Elle s’est contentée de leur indiquer, par son doigt, la porte du bureau comme si elle les sollicitait à y rentrer. Effectivement, l’un des employés a pris l’initiative pour y entrer. Rapidement, il est sorti pour lancer la mauvaise nouvelle à ses collègues. «Notre patron a été tué…», a-t-il lancé sans hésitation. Qui l’a tué ? Pourquoi? C’est la police qui doit chercher la réponse à ces deux questions.

Voir la suite »

La démocratie en Mauritanie s’effondre sous les coups de boutoir du tribalisme

Un nouveau coup d’Etat a été mené, hier à Nouakchott, par un général contre le président légitime Sidi Ould Cheïkh Abdallahi, signant le naufrage de la démocratie en Mauritanie. Nouakchott s’est réveillée, hier, sur un nouveau coup d’Etat. Le général Mohamed Ould Abdel Aziz, démis mercredi de ses fonctions de commandant de la garde présidentielle du président Sidi Ould Cheïkh Abdallahi, est le «meneur du coup d’Etat en réaction à son éviction», a affirmé à la presse le porte-parole de la présidence mauritanienne, Abdoulaye Mahmadou Ba. Ce coup d’Etat, le troisième en son genre en Mauritanie, s’est soldé par l’arrestation du président élu démocratiquement, Sidi Ould Cheïkh Abdallahi, et de son Premier ministre Yahya Ould Ahmed Waghf. Le chef d’Etat mauritanien a procédé, hier, à des changements à la tête de l’armée, de la gendarmerie et de la garde présidentielle marqués par le départ de généraux accusés d’être derrière la fronde des députés et sénateurs qui ont claqué lundi dernier la porte du parti au pouvoir (Pacte national pour la démocratie et le développement), la formation présidentielle.

Voir la suite »