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Condamnation unanime de la fatwa autorisant le mariage des filles à partir de 9 ans La fatwa autorisant le mariage des filles à partir de 9 ans suscite des réactions de réprobation, d’autant plus que cette fatwa édictée par le dénommé Al-Maghraoui véhicule une incitation déguisée à la pédophilie. Un sentiment de colère, voire d’indignation, prend à la gorge de plus en plus de Marocains, après l’édiction d’une fatwa autorisant le mariage de la fille âgée de 9 ans. L’auteur de cet avis, un fervent disciple du courant wahhabite au Maroc, estime dans cette fatwa qu’ «une fille de neuf ans a les mêmes capacités sexuelles que les filles âgées de 20 ans et plus». Cheïkh Mohamed Ibn Abderrahmane Al-Maghraoui, puisque c’est de lui qu’il s’agit, semblait avoir besoin d’une icône forte pour se donner bonne conscience et donner à sa fatwa un vernis de légitimité, il s’est alors permis de citer l’exemple du prophète Mohammed affirmant que ce dernier «s’est marié avec Aïcha à l’âge de neuf ans».

Une jeune domestique, mère de famille, travaillant chez un couple de ressortissants marocains de Hollande, leur a subtilisé plusieurs milliers d’euros et des bijoux en or. Nous sommes à Martil, à quinze kilomètres de Tétouan. Un couple de ressortissants marocains de Hollande y dispose d’un appartement. Chaque année, ils y passent leurs vacances. Et ils y cachent leurs économies. Etrange ! Un couple qui séjourne depuis belle lurette en Europe et cache encore de l’argent à son domicile sans le déposer à la banque ou le placer dans un investissement productif ! En fait, pour eux, c’est un choix qu’il faut respecter. Mais qui encourt à des risques. C’est ce qui leur est arrivé dernièrement. Et plus précisément la nuit du samedi à dimanche, 9 au 10 août.

À fin juillet 2008, les recettes des investissements et prêts privés étrangers ont reculé de 12,3% pour s’établir à 20,521 milliards de dirhams. L’année dernière, ces recettes ont réalisé un record de 40,184 milliards de dirhams. Au cours des sept premiers mois de cette année, les recettes des investissements et prêts privés étrangers ont reculé de 12,3 % par rapport à la même période de l’année précédente.