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Retour sur l’affaire des numéros de CB volés

L’affaire du vol présumé de 40 millions de numéros de cartes bancaires chez CardSystems fait grand bruit dans la presse et dans le monde de la sécurité des systèmes d’information. Retour sur un « cyber-casse » hors du commun et complément d’informations…

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Fujitsu croit arriver aux 3 pétaflops en 2011

La course à l'armement se poursuit dans le monde (restreint) des super-calculateurs. Fujitsu, l'un des cinq grands constructeurs de mainframes (gros systèmes) au monde, annonce que d'ici 2011, un super-calculateur portant sa griffe atteindra la barre des 3 pétaflops, soit 3 millions de milliards d'opérations de calcul par seconde. La firme nippone affirme explorer des pistes totalement nouvelles dans cette optique, ajoutant que les technologies actuelles ne suffiront pas à garantir un tel résultat. Pour l'instant, le ruban bleu est toujours détenu par IBM, avec son Blue Gene/L (L pour Lawrence Livermore, le laboratoire où le super-calculateur est installé) et ses 136,8 téraflops, soit 136 800 millions d'opérations par seconde. IBM pense pouvoir doubler ce chiffre, et atteindre 270 téraflops, d'ici la fin de l'année. source:generation-nt

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Six mois après le tsunami d’Asie, une faible part de l’aide internationale

six mois après le tsunami d'Asie du Sud et du Sud-Est, qui a coûté la vie à environ 180 000 personnes (quelque 50 000 sont toujours portées disparues), le bilan de l'exceptionnel élan de générosité internationale fait apparaître un constat troublant : le taux d'utilisation des fonds mobilisés est faible. Les évaluations émanant de plusieurs sources se recoupent. Si l'on en croit Interaction, une coalition d'ONG américaines, 20 % seulement de l'aide privée mondiale récoltée après la catastrophe ont été effectivement dépensés. En France, les ONG fournissent une fourchette comparable : entre 10 % et 30 % des sommes reçues ont été consommées sur le terrain. Pour sa part, l'ONU estime que ses différentes agences ont utilisé 35 % des dons, mêlant contributions d'Etats et privées. Les contraintes du travail de reconstruction et le volume énorme des dons expliquent ce bilan.

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