Infos du Maroc

Le numéro un de la distribution d¹eau et d¹électricité au Maroc, Lydec, va mettre en Bourse 1,12 million d¹actions, soit 14 % de son capital, a annoncé vendredi l¹autorité boursière, la CDVM. La fourchette indicative de prix est de 210-240 dirhams. La période de souscription est prévue entre le 4 et le 8 juillet. Selon des calculs de l¹agence Reuters, cette mise en Bourse, la première d¹une société de services publics à la Bourse de Casablanca, va permettre de lever 29,6 millions de dollars au maximum, ce qui valoriserait dans ce cas de figure la société à quelque 210 millions de dollars. L¹actionnaire de référence de Lydec est le groupe Suez avec 59% du capital. Le reste est contrôlé par RMA-Wataniya, premier assureur marocain (21%) et par la CDG, première caisse de retraite du pays (20%). Une présentation des détails et des modalités de cette opération historique aura lieu mardi matin au siège de la Lydec à Casablanca. source:albayane

Fatiha Saidi réagit au scandale de pornographie Entre 2001 et 2004, un touriste belge entretient une relation «amoureuse» avec nombre de femmes marocaines, vivant à Agadir. S¹ensuivent, dans le cadre de ces relations, des prises de photos pornographiques qui seront publiées sur un site internet, gravées sur un CD et commercialisées à l¹insu des femmes qui, pour la plupart, se croyaient dans une relation affective avec promesse de mariage. Le nombre de femmes ainsi abusées et soumises à un traitement rétrograde se chiffrerait à au moins 80. Douze d¹entre elles se trouvent déjà en prison et d¹autres sont recherchées. Comme on peut se l¹imaginer, et d¹autant plus dans une société musulmane, l¹impact aux niveaux social et moral pour ces femmes et leur famille est un véritable cataclysme. Indignée par cette terrible affaire qui vient d¹éclater, la députée bruxelloise Fatiha Saidi, accompagnée de Maître Mettioui, s¹est rendue sur place, à Agadir, le vendredi 24 juin. En tant que responsable politique, Fatiha Saïdi tient à réagir rapidement à l¹aide des données et informations concrètes qu¹elle compte trouver sur le terrain.

Si l’argent coule à flots en Algérie, la prospérité ne suit pas, souligne le journal français le Monde daté de samedi, indiquant que le pays dispose de 41 milliards de dollars de réserves de change et quelque 20 autres milliards dorment dans les caisses des banques publiques.