Derières actualités

Chaleur, sécheresse et pollution touchent une grande partie du pays

près de 37 ºC lundi 27 juin, 38 ºC ou 39 ºC prévus dans la journée de mardi : depuis le 18 juin, les températures ne cessent de grimper à Lyon. Soleil de plomb, air chaud en provenance du sud, nuits où le thermomètre ne descend plus en deçà de 21 ºC, les records de 2003 pourraient être battus, à Lyon, selon Météo France.

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L’Europe enlève ITER au Japon, mais au prix fort

c'est le dénouement d'un feuilleton politico-scientifique à suspense Les rebondissements ont été si nombreux, dans un dossier où enjeux technologiques, pressions diplomatiques et contraintes budgétaires sont inextricablement imbriqués, que l'on a craint jusqu'au dernier moment que l'épilogue ne soit une nouvelle fois différé. Mais les six partenaires ­ Europe, Japon, Etats-Unis, Russie, Chine et Corée du Sud ­ du projet de réacteur expérimental à fusion thermonucléaire ITER ont finalement annoncé, mardi 28 juin à Moscou, lors d'une rencontre ministérielle, le choix du site français de Cadarache (Bouches-du-Rhône). Et mis sur pied, dans la foulée, les structures provisoires de management du programme.

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L’armée algérienne encercle les camps de Tindouf

L’armée algérienne passe à l’attaque. Cette fois contre un corps étranger que ses dirigeants ont fabriqué de toutes pièces, hébergé sur le sol algérien et qui n’est autre que le front Polisario. Ayant eu vent de détournements d’armes et de véhicules militaires dans les camps de Tindouf et qui ont été utilisés dans les dernières attaques, revendiqués par le GSPC et perpétrées sur le sol mauritanien, l’armée algérienne s’est saisie de l’affaire, en bloquant toutes les issues des camps de la honte dans le Sud-est du pays. Des camps, nous apprend une source proche du dossier, où règne une grande tension, doublée d’une colère certaine. Et pour cause, le véritable état de siège imposé aux camps a été assorti d’une interdiction formelle pour certains séquestrés qui avaient des activités «commerciales» dans les wilaya de Tindouf (Algérie) et de Nouadibou (Mauritanie) de quitter les lieux. Le ras-le-bol s’est également élargi aux groupes d’étudiants de retour dans les camps après les vacances scolaires et qui se sont également vu encerclés. Ces derniers n’ont pas hésité à manifester, appelant à la démission des actuels dirigeants du Polisario. source:aujourdhui

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