Infos du Maroc

Suite à leur licenciement par le maire Six travailleurs du Conseil de la ville de Fès poursuivent depuis plusieurs mois leur débrayage en signe de protestation contre leur licenciement. Une mesure qu'ils ont jugée «injuste» à leur égard, lors d'un point de presse à Rabat de leur comité de soutien. Un fait divers qui aurait pu passer inaperçu, mais la conjugaison de bon nombre de données ont en fait une affaire médiatique. D'abord, il est question d'un licenciement contesté.

L'incendie, qui s'est déclaré dans la nuit de lundi à mardi dans le wagon d'un train transportant du bois près de la gare de Sidi Taibi (Kénitra), a été maîtrisé et le trafic ferroviaire a été rétabli sur l'axe Casablanca-Kénitra, a affirmé l'Office national des chemins de fer (ONCF).

Les traitant de criminels et d'apostats Le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien a appelé les musulmans résidant en France à attaquer les responsables liés au régime algérien présents sur le sol français, dans un communiqué mis en ligne hier mardi. «Nous appelons nos frères dans la religion, résidant en France, (...) à traquer (...) la bande de criminels et d'apostats (...) qui ont trouvé dans ce pays un refuge sûr», écrit le GSPC, le seul mouvement islamiste armé algérien jugé encore capable de nuisance, dans un communiqué daté du 1er août.