J’ai besoin d’entendre ceux qui seront les acteurs de la campagne interne.
C’est en fonction de ce qu’ils diront, de ce qu’ils défendront, que je me déterminerai le moment venu, a affirmé l’ancien Premier ministre français qui avait annoncé sa décision mercredi soir lors d’une réunion de ses sympathisants à Paris.
Il a assuré qu’il n’était pas du tout triste ni amer et qu’il avait pris la décision la plus sage.
Si la vie politique, ce sont les postes, les honneurs, les responsabilités de parti, alors oui le retrait est définitif, a-t-il expliqué.
Estimant que la victoire de la gauche était possible mais pas assurée, l’ancien chef du gouvernement français a promis de ne pas dire quoi que ce soit qui puisse être négatif pour un des candidats et pour le ou la candidate socialiste.
MAP