Parmi eux se trouvaient des membres présumés du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), le plus grand mouvement rebelle armé d’Algérie, qui a récemment annoncé appartenir désormais à la nébuleuse Al-Qaïda. Le GSPC a rejeté l’amnistie proposée par le Président algérien Abdelaziz Bouteflika afin de mettre fin aux violences liées à l’insurrection de groupes islamistes armés dans son pays, qui ont fait 200.000 morts depuis le début des années 1990 et se sont raréfiées ces dernières années.
On ignore dans l’immédiat si l’opération menée lundi par la police italienne visait aussi des membres présumés du GSPC.
Reuters