Il s’agit d’un projet global qui n’est pas limité uniquement aux seules sanctions, a-t-il souligné, ajoutant qu’il ne faut pas voir dans ce Code uniquement le côté des sanctions, mais il faut y voir également le volet accordé à la formation et à la valorisation des métiers de la sécurité routière.
Evoquant l’importance que revêtent les campagnes de sensibilisation aux dangers de la route, le ministre a fait état d’un énorme effort déployé actuellement au niveau des écoles en particulier, rappelant l’organisation en cours d’une semaine de prévention, qui sera close, le 18 février, par une journée nationale de sécurité routière.
Le projet de loi relatif au Code de la circulation routière est actuellement en cours d’examen au niveau de la Commission de l’Intérieur, de la Décentralisation et des Infrastructures à la Chambre des Représentants.
Outre l’instauration du système du permis à points, ce projet prévoit également l’introduction de l’alcotest ainsi que des amendes pouvant atteindre 3.000 DH ainsi que l’incrimination de certaines infractions surtout en cas de blessés graves ou de morts.
MAP