Dans le but d’assurer les conditions optimales à la réalisation de ce zoo en adéquation avec les projets touristiques programmés dans la capitale, M. Zahoud a précisé qu’il a été procédé en mai dernier à la constitution d’une société de participation avec l’Etat comme principal actionnaire. Le conseil d’administration de cette société est présidé par le Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et à la Lutte contre la Désertification, a-t-il dit, ajoutant que cette société est chargée de la préparation des études, de la réalisation des travaux et de la gestion ultérieure du zoo.
La nouvelle conception du zoo repose la préservation de l’équilibre écologique et de la diversité biologique ainsi que sur la nécessité de constituer un lieu de divertissement des visiteurs, a-t-il noté.
Le zoo accueillera des animaux originaires du continent africain, des régions sahariennes et du Maroc, a-t-il ajouté.
Le zoo de Témara, construit en 1969, accueille 1.800 espèces animales, parc dont le mode gestion ne répond plus aux normes et standards internationaux, a rappelé M. Zahoud.
La décision de construire un nouveau zoo répondant aux normes internationales émane du fait que l’évolution des zoo de par le monde ne repose plus sur la vision classique limitée à l’exposition des animaux , a dit M.
Zahoud, précisant que ces parcs zoologiques sont devenus des établissements s’acquittant d’un rôle important en matière de préservation des espèces menacées d’extinction, de recherche scientifique et de sensibilisation environnementale.
MAP