– Vous êtes une habituée du Rallye Aïcha des Gazelles, que représente pour vous cet évènement ?
– C’est vraiment une aventure extraordinaire. Une aventure de femmes qui se prépare pendant des années pour vivre une course pleine d’émotions, pleine de beaucoup d’expériences et d’engagements. Une course où les femmes cherchent peut être à montrer leurs courage, de trouver des réponses à des questions qu’elles n’ont pas trouvé ailleurs sur leurs vies, sur leurs valeurs…
D’ailleurs nous somme en train de préparer une émission qui sera diffusée sur TF1 tout les jours à 20h40, précisément sur le Rallye, le déroulement de la compétition…comment les équipages se débrouillent, comment ils font, quel équipage réussit mieux que les autres…
– Adriana Karembeu est connu comme mannequin, mais trop peu de gens savent qu’avant d’entrer au monde de la mode, vous étudiez en 3ème année de médecine à Prague. Qui a découvert en vous le talent de mannequin ?
– En fait j’étais découverte dans la rue par hasard, je marchais et quelqu’un m’a parlé et m’a montrer l’adresse d’un casting. Donc j’y suis allé et j’ai gagné et après ils m’ont emmené à Paris et c’est ainsi que cela a commencé.
– En février 2007, vous avez commencé le tournage de « Adriana et moi », une fiction de 90 min dont vous êtes l’héroïne. Que pouvez-vous nous dire sur cette expérience ?
– Au fait le cinéma me tente depuis quelques années. J’ai fait il y a 4 ans mon premier film qui s’appelait « Trois petites filles » avec Gérard Jugnot. C’est quelque chose qui me tente encore une fois. J’aime bien me donner des défis, me dépasser. Le métier d’actrice est un métier très excitant, un métier où il faut apprendre pour évoluer. Avec le cinéma je peux apprendre et cela me plait.
– Depuis 2006, vous êtes marraine de la FIDH, en charge du droit des femmes violées et de la lutte contre l’impunité. Pourquoi cet engagement et quelles sont vos contributions dans ce domaine ?
– Il y a énormément de problèmes à ce niveau là dans le monde entier. Il y a énormément de femmes qui ne sont pas soutenues et j’avais envie de leur montrer qu’on n’est pas indifférent : il y a des gens qui s’intéressent, il y a des mouvements derrière elles pour leurs soutenir, leurs donner le courage pour se battre. Mais c’est surtout l’association de La Croix Rouge qui me tient au cœur. Cela fait maintenant neuf ans que je travaille avec, et depuis neuf ans on a fait énormément de projets sur le territoire français et aussi à l’étranger. C’est vraiment un travail qui me prend beaucoup de temps, mais je suis très investie et je ne lâche pas.
– Et maintenant vous vous êtes lancé dans un autre domaine. Vous avez actuellement une ligne de cosmétique à base de Silicium. Comment avez-vous eu l’idée de créer votre propre ligne de cosmétiques ?
– Cette ligne existe il y a deux ans maintenant. On est présent à peu près dans 14 pays. Il y a une semaine, j’ai lancé aussi une ligne de spa professionnel et une ligne de maquillage.
– Quelle est la particularité de cette ligne de cosmétique ?
– Elle se distingue par le silicium. C’est un élément naturellement présent dans notre peau mais qui diminue avec le vieillissement. Il est très important pour l’hydratation, le renouvellement cellulaire et la régénération. Il est très efficace, c’est l’un des plus efficaces dans le milieu de la cosmétique. C’est pour cela que je l’ai utilisé dans tous mes produits. C’est un produit très agréable et qui donne de très bons résultats.
– Que conseillez-vous aux femmes pour préserver leur jeunesse ?
– Il faut faire attention au soleil, hydrater la peau avec de bonnes crèmes, se protéger les yeux
Menara.ma