Chez les consommateurs d’huiles riches en oméga-3, le risque de ces affections s’est avéré moins élevé de 60% par rapport à des sujets qui leur accordaient une faible place. Quant aux adeptes des fruits et légumes (une fois par jour), ils ont vu leur risque diminuer de… 30%.
« Ces résultats pourraient avoir des implications majeures en termes de santé publique. Pour autant, nous avons besoin de mener d’autres travaux pour connaître précisément le seuil au-dessus duquel, les oméga-3 et les autres nutriments s’avèrent bénéfiques. »
Source: Destination Santé