Mesdames, place aux ‘minis’ !

Depuis plusieurs années, les doses utilisées ont considérablement diminué. C’est un vrai plus pour le confort des femmes, qui se plaignaient souvent d’effets secondaires liés à des quantités d’hormones trop élevées : boutons, pilosité excessive mais également prise de poids.

Cette évolution n’a été possible que grâce à la mise au point de nouveaux progestatifs, comme le gestodène. Celui-ci doit son efficacité et sa bonne tolérance à son étroite ressemblance avec la progestérone naturelle. « En Algérie, une pilule comporte du gestodène », affirme le Pr Bouzecrini, Président de la Société algérienne de fertilité et de contraception. « Avec ces pilules faiblement dosées, il y a une meilleure tolérance, une meilleure accessibilité, et un meilleur suivi. »

Source: Destination Santé

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