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Pour Girija Vyas, dirigeante de la Commission nationale des femmes, il s’agit d’une étape très positive qui va permettre aux victimes de viols de se voir rendre justice.
Jusqu’à maintenant, les juges hommes pouvaient menacer la victime et lui faire peur. Une juge femme aidera à établir une atmosphère plus sereine, a-t-elle dit.
En Inde, où un viol est commis toutes les 29 minutes, les associations de défense des droits des femmes se battent depuis des années pour obtenir une réforme des procédures judiciaires dans les affaires de crimes sexuels.
MAP
