« Nous savions que la dépression était associée aux troubles du sommeil. Mais cette étude nous apprend qu’en fonction de tel ou tel trouble, l’enfant sera plus ou moins dépressif. La sévérité de la dépression étant plus forte chez ceux qui souffrent d’insomnie », souligne l’auteur, « nous devons adapter notre stratégie thérapeutique au trouble identifié ».
Rappelons que tout enfant a besoin d’un sommeil régulier et en quantité suffisante. Jusqu’à 6 ans, les spécialistes recommandent 12 heures par nuit en plus de la sieste. A 13 ans l’enfant doit encore dormir 9 heures sur 24, puis 7h30 à 8 heures à partir de l’adolescence.
Source: Destination Santé