Cette accélération a concerné notamment les prix des produits alimentaires qui se sont accrus de 3,2% au lieu de 0,6%, consécutivement au renchérissement des corps gras, de la viande et des légumes frais. De même, les prix des produits non alimentaires ont augmenté de 2,7% au lieu de 1,3%. Principale accusée, la folle course des prix de l’énergie, à commencer par le carburant.
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