Maroc

Le peuple marocain célèbre, demain, le 27e anniversaire de la récupération de Oued Eddahab, qui constitue une étape importante dans le processus de parachèvement et de consécration de l'unité territoriale du Royaume. Un communiqué du Haut Commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération rappelle qu'en date du 14 août 1979,

Mardi 8 août. Il est minuit. Les habitants de la rue Jazouli, située au quartier Mâarif, n'arrivent toujours pas à dormir. Et pour cause, des travaux de réparation entrepris par la Lydec. « Je n'ai pu dormir que vers 2 h du matin alors que je dois être au bureau à 8h30. Vous imaginez le calvaire que j'ai dû supporter à cause de ces travaux », affirme une habitante de la rue Jazouli. «Je me demande s'il n'auraient pas pu attendre le lendemain matin pour entamer leur chantier», ajoute-t-elle.

Jamaât Ansar El Mahdi préparait un affreux remake des attentats de Casablanca. Marrakech devait en être leur cible de prédilection. Récit. Avec le démantèlement du groupe terroriste de la Jamaât Ansar El Mahdi, le Maroc a pu éviter pire que les attentats de Casablanca. Le commentaire revient sur la bouche de plusieurs responsables sécuritaires proches des enquêtes en cours sur la bande de Hassan Khattab. Cela provient, affirment les mêmes sources, du fait que la quantité d'explosifs saisis dépasse de loin celle utilisée pour perpétrer les attentats qui ont ensanglanté Casablanca, le 16 mai 2003. Lors des perquisitions effectuées dans les domiciles des membres du noyau dur de Jamaât Ansar El Mahdi, les enquêteurs, affirme une source policière, avaient saisi près de 30 kg d'explosifs (la TNT).

Si nous tenons compte du fait que cette population n'était en aucune sorte responsable de l'antisémitisme européen, nous devons affronter une première vérité dérangeante : les Palestiniens ont payé et paient toujours – et de quelle manière ! – pour nos fautes passées, et une reconnaissance de cette injustice – certains l'ont appelée péché originel – par les Israéliens et les Européens pourrait aider à établir les bases d'un dialogue en vue d'une reconnaissance mutuelle des deux peuples qui s'affrontent, dialogue sans cesse reporté du fait d'une victimisation identitaire, croisement d'accusations sans fondement et d'une violence fratricide qui perpétuent la spirale sanglante d'une guerre qui ne dit pas son nom.

Ils sont plus de 3 millions de Marocains à vivre à l'étranger. Leur poids économique est de plus en plus important puisqu'ils participent activement à l'économie nationale à travers les transferts en devises et les investissements directs. Ces Marocains résidant à l'étranger (MRE) célèbrent aujourd'hui leur Journée nationale à travers des rencontres organisées dans toutes les régions du Royaume où ils seront appelés à entrer en contact avec différentes administrations publiques et privées concernées.

Des éléments de la sécurité ont réussi à démanteler une cellule terroriste baptisée Jammaa Ansar Al Mehdi qui projetait de proclamer le Jihad au Maroc, indique un communiqué du procureur général du Roi près la cour d'appel de Rabat. Ce groupe a été constitué par le dénommé Hassan El Khattab qui, après avoir purgé une peine de deux ans d'emprisonnement, a fait appel a un groupe d'individus répartis sur plusieurs cellules à Salé, Sidi Yahya Gharb, Sidi Slimane, Youssoufia et Casablanca, précise la même source.

Des instances représentant les secteurs de l'urbanisme et du bâtiment et travaux publics (BTP) ont organisé, mardi à Rabat, un sit-in en solidarité avec le peuple libanais visant à dénoncer l'agression dont il fait l'objet dont la destruction des infrastructures et du patrimoine urbanistique. Réunis à l'appel de l'Ordre national des architectes, auquel ont répondu notamment la Fédération nationale de l'immobilier, la fédération marocaine du conseil et d'ingénierie et la fédération nationale du bâtiment et travaux publics (FNBTP), les manifestants ont exprimé leur dénonciation de la destruction urbanistique et architecturale au Liban et celle touchant le patrimoine civilisationnel du pays.

La population active âgée de 15 ans et plus a, au terme du deuxième trimestre de l'année 2006, atteint 11.408.000 personnes, soit une hausse de 2,2% par rapport à la même période de l'année précédente, indique le Haut Commissariat au Plan (HCP). Cette hausse a particulièrement concerné les hommes (+3,2% au niveau national contre -0,5% pour les femmes) et a été enregistrée principalement en milieu rural (+3,5% contre +0,9% en milieu urbain), précise le HCP dans une note d'information sur le marché du travail, rendue publique mercredi.

Plus de 12.000 enfants vont bénéficier cet été des colonies de vacances relevant de la délégation provinciale de la jeunesse de Tanger-Asilah. L'opération 'vacances pour tous', organisée par le secrétariat d'Etat chargé de la jeunesse, a programmé pour la région Tanger-Asilah cinq périodes de 10 jours chacune.

Garer sa voiture est un exercice quotidien des plus ardus à Casablanca. En effet, les dysfonctionnements liés au problème de stationnement sont devenus légion et les accusations fusent dès que la question est soulevée. Les Casablancais sont souvent obligés de tourner durant une demi-heure pour réussir à trouver une place sur les grands boulevards.

Incroyable. Effarant. Affligeant même. Les Marocains affirment ignorer l'histoire de leur propre pays. Certains peinent à associer les villes impériales aux noms des Sultans qui y ont régné et avouent ne pas s'en soucier. D'autres méconnaissent l'ordre historique des grandes dynasties du Royaume. Quoi qu'il en soit, cette réalité ne fait pas toujours plaisir à entendre…

La chasse aux individus suspectés d'intentions réelles de perpétrer des actes terroristes dans le pays continue sans relâche. Dernier événement en date, les services de sécurité viennent de démanteler un important réseau terroriste et se sont emparés d'un important stock d'explosifs qui devait servir à une série d'actes terroristes dans le Royaume, ainsi que du matériel de propagande et un équipement de laboratoire.

Si la conduite à Casablanca est particulièrement périlleuse et ressemble à un véritable parcours de combattant, il en est de même pour le stationnement qui met à rude épreuve les nerfs, déjà à fleur de peau derrière le volant, des automobilistes qui trouvent toujours beaucoup de peine à garer leurs voitures. Tournoyant en rond à l'affût d'une hypothétique place vacante, les automobilistes, surtout dans le centre ville, se trouvent toujours confrontés à la difficulté de stationner facilement et correctement. Et ce n'est qu'après moult tentatives et parfois quelques dégâts collatéraux que leurs efforts sont couronnés de succès.

Un jeune marocain de 26 ans, propriétaire d'une pizzeria qui emploie quatre personnes à Nantes (ouest de la France) est menacé d'expulsion du territoire français. Youssef M. a été interpellé le 25 juillet dernier, suite à un contrôle de permis de conduire. Sans papiers depuis février 2005 et ayant travaillé irrégulièrement depuis cette date, il a fait l'objet d'un arrêté d'expulsion validé par le tribunal administratif de Nantes et est actuellement incarcéré dans un centre de rétention de la ville, écrit mardi 8août le journal L'Humanité.

340 clandestins sont interceptés à Sebta 400 rescapés débarquent aux Canaries • Rabat intensifie sa lutte contre les réseaux de l'immigration clandestine • Manuel Chavez : «Le Maroc et l'Espagne condamnés à s'entendre» • L'alibi de l'Institut Gœthe • Emigration sportive, une aventure à risque Principale porte de l'Afrique aux frontières de l'Europe, le Maroc, outre ses propres ressortissants qui rêvent d'un Eldorado en «brûlant» vers l'Occident, voit passer chaque année des milliers d'immigrés clandestins, dont la traque s'avère difficile et coûteuse.

Des centaines de milliers de Marocains ont bravé, hier matin à Casablanca, les fortes chaleurs pour exprimer leur solidarité avec le peuple libanais, en proie depuis plus de trois semaines à une guerre d’extermination méthodique et barbare menée par l’armée israélienne Atmosphère très peu ordinaire à Casablanca, dimanche 6 août 2006. La place de la Victoire, point de départ de la marche de soutien au Liban et à la Palestine, a retrouvé des couleurs en ce jour non ouvrable. Les couleurs nationales tutoyaient celles du pays du Cèdre, du Hezbollah, de la Palestine, et plus encore celles de l’Irak. Le déferlement impressionnant des foules a, en outre, donné plus de relief à la place. On pouvait, de temps en temps, apercevoir des cortèges de manifestants arrivés, en rangs dispersés, de différents horizons de la mégalopole pour se joindre aux présents qui ont déjà pris «position» sur la place de la Victoire, en attendant, impatiemment, le coup d’envoi prévu à 10 heures.

Le Labosfort a fêté ses 10 ans de services à une clientèle de plus en plus exigeante en matière de rapidité, qualité de service et rapport qualité / prix. Pour satisfaire sa clientèle, le Labosfort s'est soumis à un travail très rigoureux d'audit de ses installations et des méthodes d'analyses utilisées. En effet, grâce au concours d'Euro Maroc Entreprise, le Labosfort a réussi, au bout de deux années de travail, à mettre en place les procédures visant l'obtention de l'accréditation et de la certification ISO 17025.

Dans le cadre des nouveaux accords de partenariat avec l’Ecole Nationale d’Industrie Laitière de Mamirolle (Besançon, France), les étudiants de 3ème et 4ème Année de l’ISFORT ont la possibilité de faire un voyage d’étude dans la région de Franche-comté.

Le nombre de lieux réservés à la pratique de la religion musulmane au Maroc s'élève, au quatrième trimestre de l'année dernière, à 39.876 répartis entre mosquées et salles de prière, indique le ministère des Habous et des Affaires islamiques. Le bulletin sur l'état et les activités des mosquées au Maroc publié par ce département relève qu'au niveau national, les mosquées où se fait la prière du vendredi sont au nombre de 14.659, soit 37 % du total des moquées du Royaume, ajoutant que le nombre des msallahs dans les différentes régions du Royaume s'élève à 8.059 et celui des salles de prière à 11.202, soit 28 % du total des lieux réservés à la pratique du culte religieux.

Ils sont une trentaine et ils ont la particularité d'être détenus pour différents délits ou abandonnés par leurs familles. Pourtant la vie ne s'arrête pas là pour ces mineurs âgés entre 8 et 18 ans ! Installés dans ce bâtiment à la façade usée, derrière une haute muraille avec un énorme portail en bois, ces jeunes détenus continuent de vivre leur vie. Les délits qu'ils ont commis ne leur ferment en rien les portes de l'avenir et même du succès.