Maroc

Le Maroc disposé à négocier, mais uniquement sur l'autonomie, toute l'autonomie et rien que l'autonomie • Notre vœu est de faire en sorte que les pourparlers soient une victoire pour toutes les parties, pour le droit et la légitimité et de faire prévaloir l'esprit de fraternité, de bon voisinage et d'unité maghrébine • L'élection de la prochaine Chambre des représentants doit conforter la normalité démocratique et faire émerger une majorité gouvernementale crédible et une opposition agissante et constructive. • Notre monarchie est citoyenne, elle ne saurait être cantonnée dans un concept réducteur ni dans des prérogatives exécutives, ou organe législatif ou autorité judiciaire.

A l'occasion du 8-ème anniversaire de l'accession de SM le Roi Mohammed VI au trône de Ses glorieux ancêtres, le Souverain présidera une réception, lundi au Palais Marchane de Tanger, et adressera un discours à la Nation, annonce, dimanche, le ministère de la Maison royale, du protocole et de la chancellerie dans un communiqué dont voici la traduction:. Le ministère de la Maison royale, du protocole et de la chancellerie annonce qu'à l'occasion du 8-ème anniversaire de l'accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, au trône de Ses glorieux ancêtres, le Souverain, que Dieu Le préserve, présidera, lundi 14 rajab 1428 de l'hégire correspondant au 30 juillet 2007, une réception au Palais Marchane de Tanger. En cette heureuse occasion, le discours du trône sera retransmis à 12h00 sur les ondes de la radio et à la télévision.

A l'occasion de la Fête du Trône, SM le Roi Mohammed VI a accordé Sa grâce à 934 personnes condamnées par différents tribunaux du Royaume, indique un communiqué du ministère de la Justice. En voici le texte:. A l'occasion de la Fête du Trône de cette année 1428 H.-2007 G. Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu perpétue Sa gloire, a bien voulu accorder Sa grâce à un ensemble de personnes dont certaines sont en détention et d'autres en liberté. Condamnées par différents tribunaux du Royaume, ces personnes sont au nombre de 934 se répartissant comme suit:. - Grâce sur le reliquat de la peine d'emprisonnement ou de réclusion au profit de 26 détenus. - Remise de la peine d'emprisonnement ou de réclusion au profit de 810 détenus.

Mineure, Samia est tombée dans les filets d’un MRE qui a lui a promis le mariage pour coucher avec elle. Il l’a abandonnée pour ne plus donner signe de vie. Samia est à son 17e printemps. C’est une lycéenne bien disciplinée et assidue car elle ne rate jamais ses cours. Malgré son très jeune âge, elle semblait être une fille mûre, prudente et très sérieuse. C’est du moins ce que remarquaient ses parents, ses voisins et ses amies. Malheureusement, ses comportements ont changé depuis quelque mois. Elle ne rentrait plus chez elle à l’heure et négligeait de plus en plus ses études.

Les domaines que le changement embrasse sont à chaque fois plus étendus et plus nombreux. Tous les chantiers ouverts avancent, tous, en même temps dans une espèce de suractivité permanente. Dire que depuis son accession au Trône, S.M le Roi Mohammed VI fait bouger le Maroc est une évidence. Sérieusement, le pays bouge. Sur tous les fronts de la vie sociale, économique et politique. Il est vraiment sorti de sa torpeur. En huit ans maintenant, la marche est soutenue.

Plus de 300 milles enfants sont déscolarisés ou non scolarisés au Maroc, révèlent les résultats de l'opération recensement des enfants non scolarisés ou déscolarisés par leurs paires scolarisés, réalisée par le secrétariat t d'Etat Chargé de l'alphabétisation et de l'éducation non formelle. Présentant cette étude, jeudi à Rabat, le secrétaire d'Etat Chargé de l'alphabétisation et de l'éducation non formelle, M.Anis Birou a indiqué que son département dispose actuellement des données précises relatives aux enfants non scolarisés ou déscolarisés, aux conditions socio-économiques de leurs familles et aux causes de leur déperdition scolaire ou leur déscolarisation ainsi qu'aux facteurs à même de faciliter leur rescolarisation. Ces données permettront de connaître les points noirs au niveau des écoles et des communes qui nécessitent une intervention rapide et intégrée, a-t-il ajouté, rappelant que cette opération initiée en collaboration l'UNICEF vise à mobiliser au niveau local, provincial, et national, les enfants, les enseignants, les employeurs, les collectivités locales et la société civile, sur le droit à l'éducation, et à diagnostiquer les causes de la non-scolarisation/déscolarisation et à renforcer l'exercice du droit à la participation.

Le Tribunal de première Instance de Casablanca a rejeté, jeudi, la demande de la relaxe du journaliste de l'hebdomadaire d'Al Watan Al An, Mustapha Hurmat Allah, placé sous mandat de dépôt, et décidé de le maintenir en détention. Le Tribunal de première Instance de Casablanca a rejeté, jeudi, la demande de la relaxe du journaliste de l'hebdomadaire d'Al Watan Al An, Mustapha Hurmat Allah, placé sous mandat de dépôt, et décidé de le maintenir en détention. Le tribunal a également décidé de reporter au 31 juillet courant l'affaire d'Al Watan Al An où sont poursuivis pour 'recel de choses obtenues à l'aide d'un crime' Mustapha Hurmat Allah et le directeur de publication du journal Abderrahim Ariri, qui comparaissent pour la première fois devant cette juridiction.

Un sondage publié récemment par le Pew Global Attitudes Project, et qui a été mené dans 47 pays, dont le Maroc, a révélé que les Marocains sont les plus optimistes parmi les Arabes. Selon un sondage international publié récemment par le Pew Global Attitudes Project, un cercle de réflexion diplomatique basé à Washington, les Marocains sont de loin les plus optimistes parmi les Arabes. 67% des personnes interrogées au Maroc prédisaient en effet un avenir meilleur, contre seulement 13% qui s’attendaient à ce que leurs conditions empirent. Les Palestiniens demeurent pour leur part les plus pessimistes. 18% seulement d’entre eux croient que leur avenir sera meilleur.

Trois accusés de la ville de Salé ont été condamnés mercredi à quatre ans de prison ferme chacun pour liens avec la cellule Ansar El Mehdi, composée de 50 membres poursuivis dans la cadre de la loi antiterroriste. La Chambre criminelle (1er degré) de l'annexe à Salé de la Cour d'appel de Rabat a ainsi condamné les dénommés Rabî Ghanem, Rachid Souhali et Mohamed Koreâa pour constitution de bande criminelle dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes dans la cadre d'un projet collectif visant à porter atteinte à l'ordre public, réunions publiques sans autorisation et adhésion à une association non autorisée. Par ailleurs, la Cour a condamné, dans une affaire, sept accusés à des peines allant de 2 à 3 ans de prison ferme. Les accusés appartenaient à la cellule dite de Nador. Ils étaient poursuivis pour constitution de bande criminelle dans l'intention de préparer et de commettre des actes terroristes, collecte et gestion de fonds pour financer des actes terroristes, réunions publiques sans autorisation et adhésion à une association non autorisée.

Le nombre de Marocains résidant à l'étranger (MRE) ayant transité par les différents centres frontaliers a atteint 802.927 depuis le lancement effectif de l'opération Marhaba 2007, enregistrant ainsi une hausse de 15,44 % par rapport à la même saison en 2006, a indiqué, mardi la ministre déléguée chargée de la communauté marocaine résidant à l'étranger, Mme Nezha Chekrouni. Le nombre de Marocains résidant à l'étranger (MRE) ayant transité par les différents centres frontaliers a atteint 802.927 depuis le lancement effectif de l'opération Marhaba 2007, enregistrant ainsi une hausse de 15,44 % par rapport à la même saison en 2006, a indiqué, mardi la ministre déléguée chargée de la communauté marocaine résidant à l'étranger, Mme Nezha Chekrouni. Répondant à une question orale à la Chambre des Conseillers, sur les préparatifs du gouvernement pour accueillir les MRE, Mme Chekrouni a ajouté que le nombre des voitures qui ont transité par les frontières a atteint 139.591, soit une hausse de 10,90 % par rapport à l'année dernière.

Abdelghani et Abdelmoughite, des amis depuis des années, se sont bagarrés. L’un est mort et l’autre a été condamné à vingt ans de prisons ferme. «Je l’ai tué sans le vouloir…», a balbutié Abdelghani devant les magistrats de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Les larmes aux yeux, Abdelghani a avoué son crime avec regret.

Mohamed Réda Belhachmi, l'un des terroristes les plus recherchés par le Maroc, serait mort en Algérie en compagnie d'une vingtaine de membres du GSPC. Mohamed Réda Belhachmi aurait été tué par l'armée algérienne lors d'une opération de grande envergure menée, lundi dernier, dans les zones montagnardes et forestières près de Tizi Ouzou. Selon la presse algérienne, Belhachmi a été tué lors de confrontations armées avec des éléments de l'armée et des groupes d'autodéfense. Il aurait subi le même sort qu'une vingtaine d'autres terroristes présentés comme étant des membres du GSPC (Groupe salafiste pour le combat et la prédication). Selon les mêmes sources, Mohamed Réda Belhachmi aurait séjourné dans des camps d'entraînement d'Al Qaïda aux pays du Maghreb islamique situés sur la frontière algéro-malienne. L'armée, une fois terminée cette opération qui s'était déroulée sur deux jours, aurait saisi d'importants lots d'armes automatiques, des matériaux entrant dans la fabrication des bombes ainsi que des vivres.

La chaîne de radio régionale de Meknès lancera, à partir de jeudi prochain, ses programmes sur les ondes locales FM 92.5 et AM 612, indique mardi, un communiqué de la Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision(SNRT). La chaîne de radio régionale de Meknès lancera, à partir de jeudi prochain, ses programmes sur les ondes locales FM 92.5 et AM 612, indique mardi, un communiqué de la Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision(SNRT). Dans un premier temps, la durée quotidienne de diffusion sera de cinq heures à partir de 14h, ajoute le communiqué. Ce nouveau-né de la radio marocaine, s'inscrit dans le cadre des efforts de la SNRT visant à diversifier ses produits d'information et à mettre à la disposition de la population de la capitale ismaélite un espace médiatique offrant un service radiophonique caractérisé par la proximité et s'adaptant aux spécificités culturelles, civilisationnelles et sociales de la région de Meknès-Tafillalt et permettant de rapporter sa vie quotidienne et son héritage culturelle.

Le choix des candidatures pour les circonscriptions des provinces du Sud divise l’USFP Les socialistes ne sont pas arrivés à un consensus concernant les candidatures à Guelmim et Tan Tan. Les structures USFP locales craignent un raz-de-marée du clan Hassan Derham.

Les escrocs continuent à plumer les rêveurs de l’eldorado et d’un emploi digne. L’un d’eux a été condamné dernièrement par la chambre correctionnelle près le tribunal de 1ère instance à Casablanca à deux ans de prison ferme. Après avoir ajourné plusieurs dossiers, le président de la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca appelle Mohamed à la barre. Cinq de ses victimes, trois jeunes filles et deux jeunes hommes, qui ont répondu favorablement à la convocation du tribunal, se dirigent, sur ordre du président, vers la porte de sortie de la salle d’audience. Ils doivent attendre leur tour pour témoigner. Portant une chemise blanche, des chaussures noires, un costume sans cravate, Mohamed, l’accusé, clame son innocence. « Je ne les connais pas, monsieur le président ! », avoue-t-il. Le président du tribunal lui ordonne de se taire et de ne répondre qu'aux questions du tribunal. L’accusé hoche la tête.

L'ONU a décidé l'ouverture d’une enquête suite à des accusations d'abus sexuels portées contre les Casques bleus marocains en Côte d’Ivoire. Tout éventuel contrevenant sera rapatrié et jugé au Maroc. L'Organisation des Nations Unies a affirmé que tout éventuel auteur d'abus sexuels sur mineurs, sera rapatrié et jugé au Maroc selon les lois en vigueur dans le pays. Cette annonce a été faite après l'éclatement d'une nouvelle affaire de présumés abus sexuels sur mineurs au centre de laquelle se trouverait le bataillon marocain fournissant une bonne partie des unités composant l'ONUCI (Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire) et basées essentiellement à Bouaké. Margherita Amodeo, porte-parole de l'ONU a annoncé, dimanche, que seulement une unité formant le bataillon marocain était concernée par les allégations d'abus sexuels faisant actuellement l'objet d'investigations de la part du bureau de contrôle interne de l'ONU. Cette responsable a ajouté que seulement seront prises en considération les allégations émanant de mineurs âgés de moins de dix-huit ans. Margherita Amodeo a promis que l'ONU rapatrierait tout soldat marocain dont la culpabilité serait établie pour qu'il soit jugé selon les dispositions des lois nationales en vigueur.

La chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca a condamné une bande de cinq malfrats à des peines allant de deux à six ans de réclusion criminelle pour constitution d’une association de malfaiteurs, vol qualifié et viol. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Cinq jeunes se tiennent devant les magistrats. Ils ne semblent guère impressionnés par cette tension qui règne dans la salle d’audience bondée ni par les peines qu’ils encourent. Ils échangent même des sourires et parfois chuchotent, avant que le président ne les rappelle à l’ordre. Silence, les cinq prévenus devront répondre, à tour de rôle, aux questions de la cour. Khaled, Saïd, Mohamed, Rachid et Bouchaïb sont âgés respectivement de 20, 19, 30, 28 et 27 ans. Ils sont tous chômeurs.

Les autorités italiennes ont arrêté, samedi à Pérouse, trois Marocains soupçonnés de terrorisme. Les trois individus, dont un imam, projetteraient de viser des cibles au Maroc ou en Italie. La police italienne a arrêté, samedi dans la banlieue de Pérouse, trois ressortissants marocains accusés d'avoir transformé une petite mosquée en camp d'entraînement et d'endoctrinement de terroristes. Selon le ministère de l'Intérieur italien, cette cellule est dirigée par un imam: Mostafa Korchi, âgé de 41 ans. Elle comprenait également deux de ses aides : Driss Safika (46 ans) et Mohamed El Jari (47 ans) en plus d'un quatrième individu recherché par la police italienne qui l'aurait localisé dans un autre pays.

Le gouvernement espagnol a approuvé, vendredi, l'extradition vers le Maroc de Abdeladim Akoudad, accusé 'd'appartenance à une organisation terroriste et falsification de document officiel'. Selon un communiqué rendu public à l'issue de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, 'les autorités marocaines soupçonnent Akoudad d'avoir des liens avec le Groupe islamique marocain combattant' (GICM). La première demande d'extradition, ajoute-t-on de même source, a été présentée par le Maroc en novembre 2003. Le gouvernement espagnol avait approuvé, en mars 2005, son extradition qui a été 'suspendue ultérieurement en raison de l'existence d'une procédure pénale le visant en Espagne'.

La Brigade Nationale de la Police Judiciaire (BNPJ), chargée par le Parquet de l'enquête sur les fuites de documents confidentiels relevant du secret-défense, a procédé à la saisie d'autres documents secrets détenus par d'autres personnes appartenant aux Forces Armées Royales et qui sont, de leur côté, impliquées dans la fuite de ces documents, indique le procureur général du Roi près la Cour d'Appel de Casablanca. Suite aux investigations, menées parallèlement avec celles des éléments de la police judiciaire relevant de la Gendarmerie Royale, la BNPJ a saisi d'autres documents secrets détenus par d'autres personnes appartenant aux Forces Armées Royales et qui sont, de leur côté, impliquées dans la fuite de ces documents, ajoute la même source dans un communiqué . Les investigations de la BNPJ ont été, rappelle la même source, enclenchées au sujet de documents relevant du secret-défense auxquels avaient accédés les journalistes Abderrahim Ariri et Mustapha Hormatallah et dont certains ont été publiés par l'hebdomadaire Al Watan dans son numéro du samedi 14 juillet courant sous le titre les rapports secrets qui ont conduit au relèvement de l'état d'alerte au Maroc.