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De l’amour au suicide

Nadia est décédée depuis quelques semaines. Mais ses voisins de l’un des quartiers de la ville de Larache n’ont pas encore oublié son histoire qui a commencé par l’amour et s’est terminée par le suicide.

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Le PJD appelle le gouvernement à autoriser les banques islamiques

Le Parti de la justice et du développement initie aujourd’hui à la Chambre des représentants une rencontre-débat autour des effets de la crise financière internationale sur l’économie nationale. Le débat sur le projet de loi de Finances qui sera présenté aujourd’hui au Parlement par le ministre Salaheddine Mezouar s’annonce houleux. Le Parti de la justice et du développement qui est dans l’opposition s’alarme déjà de l’inadéquation de ce projet avec la crise économique qui secoue le monde entier. «Le projet de loi de Finances a été établi aux mois de juillet et août derniers, il ne tient donc pas compte des développements survenus récemment sur les places financières», alerte le député PJD Lahcen Daoudi, qui participe, aujourd’hui à partir de 14H00, à une rencontre-débat initiée par son parti à la Chambre des représentants pour discuter des effets de la crise internationale sur l’économie nationale.

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Le Maroc est à l’abri des risques de la crise financière internationale

L'économie marocaine reste à l'abri des risques de la crise financière internationale, a indiqué mardi à Rabat le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, M. Khalid Naciri. Interrogé lors d'un point de presse à l'issue du Conseil de gouvernement, sur les retombées éventuelles de la crise financière internationale sur l'économie marocaine, le ministre a précisé que le Maroc, contrairement à d'autres pays en voie de développement, n'est pas trop impliqué dans le marché financier international, ce qui le met à l'abri de ce genre de risques.

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La nouvelle gare ferroviaire de Marrakech

La nouvelle gare ferroviaire de Marrakech, d'un investissement global de 120 millions de dhs, sera mise en service à partir de ce mercredi 8 octobre, indique un communiqué de l'ONCF. Etalée sur une superficie globale de 25.000 m2 en plein centre ville, cette nouvelle gare ferroviaire dont les travaux de réalisation ont duré près de 30 mois, arbore une architecture avant-gardiste qui allie tradition et modernité, tout en offrant aux clients et au grand public un espace convivial, fonctionnel et intelligent.

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Il tue son frère en le brûlant

Un père de famille, plongé dans un profond sommeil, a été aspergé d’essence puis brûlé par son frère. Une expertise médicale et psychiatrique déterminera si ce dernier est responsable du crime ou pas.

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Echo echo : Le prochain magazine économique de la ville de Fès

Le magazine économique de la première chaîne de télévision nationale EchoEco' consacre sa prochaine édition, qui sera diffusée lundi prochain en prime time, à la ville de Fès. Parmi les points soulevés par cette édition figurent la médina de Fès qui séduit les étrangers des quatre coins du monde, les riads qui se remplissent et les investisseurs qui mettent le paquet pour séduire la clientèle.

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Le nouveau taux directeur Bank Al-Maghrib n’est pas répercuté sur les clients

Le GPBM vient d’annoncer que le secteur bancaire marocain ne répercutera pas dans le contexte actuel le relèvement du taux directeur de Bank Al-Maghrib à 3,5%. Une semaine après l’annonce faite par Bank Al-Maghrib de relever son taux directeur de 25 points de base à 3,5 %, les banques marocaines viennent de rassurer leurs clients. Le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) vient de préciser que cette hausse du taux directeur de la Banque centrale n’affectera pas la clientèle. Du moins dans le contexte actuel. «Le secteur bancaire, soucieux de consolider son soutien et son accompagnement des petites et moyennes entreprises ainsi que des particuliers, ne répercutera pas dans le contexte actuel le relèvement du taux directeur de Bank Al-Maghrib», souligne-t-on au GPBM.

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Condamnation de deux escrocs

Ceux qui souhaitent améliorer leur situation matérielle avec un simple coup de chance deviennent un appât facile pour les arnaqueurs. En 1994, alors qu’il était employé dans une société établie à Aïn Sebaâ, à Casablanca, Abdellah, âgé de trente-six ans, célibataire a été arrêté pour faux, usage de faux et usurpation d’identité. Il a purgé une peine d’emprisonnement de huit mois ferme. Il a été libéré et a repris son travail. Mais, il semble que la prison l’a encouragé à devenir plus professionnel dans le monde de la criminalité. Pourquoi? De coutume, Abdellah préférait passer son troisième temps dans un café situé au boulevard des FAR, à Casablanca. C’est là qu’il rencontrait ses amis qui l’avaient accueilli chaleureusement après sa sortie de prison. En fait, ils ne lui avaient rien reproché. Parce qu’il leur a fait croire qu’il était innocent et qu’il devait être acquitté. Malheureusement, leur a-t-il prétendu, il a été trompé par un collègue avec lequel il avait des comptes à régler. Redouane était l’un de ses amis intimes. Ce père de famille, quadragénaire, employé de son état, passait la majorité de son temps en compagnie d’Abdellah.

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Les Istiqlaliens préfèrent attendre pour avoir plus de visibilité

La démission de Mohamed Larbi Messari n’a rien changé. Le parti de l’Istiqlal a décidé de reporter son congrès à fin novembre. Une décision stratégique justifiée par des difficultés organisationnelles. Mohamed Larbi Messari a présenté, vendredi 3 octobre, sa démission du comité exécutif du Parti de l’Istiqlal. L’ancien ministre de la Communication justifie cette décision par ce qu’il considère comme une volonté de priver les Istiqlaliens de leur droit à disposer de leur parti à travers le report du congrès. Dans la lettre de démission qu’il a envoyée aux instances compétentes du parti, M. Messari appelle toutes les personnes soucieuses des intérêts de l’Istiqlal à «se pencher sérieusement sur la situation du parti et sur l’avenir du pays».

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Des conventions pour renforcer les liens entre les MRE et leur pays

Plusieurs conventions ont été signées entre le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) et des universités, associations et centres de recherches. La communauté marocaine à l’étranger renforce ses liens avec son pays à travers une série de conventions signées entre le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) et plusieurs universités, associations et centres de recherches. Cette série de conventions a été signée dimanche 28 septembre à Rabat, lors d’une cérémonie d'Iftar organisée en l’honneur de Mohamed Moussaoui, président du Conseil français du culte musulman. En marge de cette manifestation, Driss El Yazami, président de du CCME, a déclaré que ces conventions visent notamment à consolider les capacités nationales en matière d’enseignement et de recherche scientifique. Il a ajouté en outre que l’élaboration de politiques publiques susceptibles de relever les défis auxquels fait face la communauté marocaine à l’étranger reste tributaire d’un renforcement de la connaissance scientifique de ces défis.

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