L’objectif de la technique est d’implanter des cellules qui aident à la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, pour une meilleure récupération du muscle cardiaque.
Actuellement, l’intervention sera effectuée sur des patients victimes d’un premier infarctus étendu et à risque de complications. Il n’est toutefois pas impossible qu’elle puisse être appliquée, une fois affinée, à d’autres personnes.
Des équipes du Centre hospitalier de l’Université de Montréal et de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont participent à cette recherche clinique. Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans les pays occidentaux.
MAP