Le contrôle de la dépense publique subira, dans les quelques années à venir, une mutation profonde avec une responsabilisation poussée des ordonnateurs qui se verront confier le contrôle a priori de régularité des dépenses et une convergence des métiers du contrôle exercés par les différents intervenants dans ce domaine.
Il s’agira notamment de la Trésorerie générale du Royaume et du Contrôle général des engagements de dépenses de l’Etat, dont les services support seront fusionnés et les systèmes d’information intégrés.